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Partie IV
Annexes
Questions étudiées

Ces questions ne font pas partie du processus de validation de la formation médicale continue. Elles sont uniquement fournies à des fins pédagogiques et pour vous permettre d'identifier d'éventuelles lacunes dans votre pratique professionnelle. Après les questions, vous trouverez une feuille de réponse vierge ainsi que les réponses accompagnées d'explications. Malgré un effort concerté pour éviter l'ambiguïté et la redondance de ces questions, les auteurs reconnaissent que des avis différents sont possibles quant à la « meilleure » réponse. Les explications sont présentées afin de montrer le raisonnement qui a conduit à la réponse. Elles peuvent aussi être utiles pour confirmer que votre approche du problème a été correcte ou, si nécessaire, pour que vous puissiez en mémoriser le principe. Les enseignants de la Section 12 remercient le Comité d'auto-évaluation d'avoir relu les questions d'auto-évaluation.

  • 1.

    Qu'est-ce qui correspond à une extension postérieure de l'épithélium de la pars plana du côté rétinien de l'ora serrata ?

    • a.

      une baie de l'ora incluse

    • b.

      un complexe méridional

    • c.

      un processus denté

    • d.

      une excavation rétinienne périphérique

  • 2.

    Quelle couche tissulaire adjacente est atrophiée parallèlement à l'atrophie de l'épithélium pigmentaire rétinien (EP) ?

    • a.

      toute l'épaisseur de la rétine

    • b.

      toute l'épaisseur de la choroïde

    • c.

      la choriocapillaire

    • d.

      il n'y a pas d'atrophie adjacente ; l'EP s'atrophie habituellement de manière isolée

  • 3.

    Quel examen d'imagerie diagnostique permet de détecter de manière quantitative l'épaississement de la rétine dans l'œdème maculaire diabétique ?

    • a.

      la biomicroscopie à la lampe à fente avec un verre de contact d'examen

    • b.

      l'angiographie fluorescéinique

    • c.

      l'échographie en mode B

    • d.

      la tomographie en cohérence optique

  • 4.

    Quelle est la marche à suivre après une angiographie fluorescéinique ?

    • a.

      administrer de l'aspirine

    • b.

      observer le patient à la recherche de signes d'effets indésirables retardés

    • c.

      conseiller au patient d'éviter la lumière du soleil pendant les 5 jours suivant la procédure

    • d.

      demander une analyse d'urine à la recherche d'une modification de la couleur des urines

  • 5.

    Dans quelles cellules rétiniennes l'activité mesurée avec le pattern-électrorétinogramme est-elle principalement générée ?

    • a.

      les cellules ganglionnaires

    • b.

      les cellules bipolaires

    • c.

      les photorécepteurs

    • d.

      les cellules amacrines

  • 6.

    Quel effet une névrite optique démyélinisante avec récupération de l'acuité visuelle a-t-elle sur les potentiels évoqués visuels (PEV) par damiers alternants ?

    • a.

      des PEV par damiers alternants retardés

    • b.

      des PEV par damiers alternants inversés

    • c.

      des PEV par damiers alternants augmentés

    • d.

      des PEV par damiers alternants renversés

  • 7.

    Quelle anomalie clinique est-elle considérée comme un facteur de risque de dégénérescence maculaire néovasculaire liée à l'âge ?

    • a.

      de multiples petits drusen dans un œil

    • b.

      de multiples petits drusen dans les deux yeux

    • c.

      l'absence d'amas pigmentaires

    • d.

      de grands drusen avec des amas pigmentaires

  • 8.

    Quels sont les yeux qui présentent le plus de risques de déchirure de l'EP après un traitement anti-VEGF (facteur de croissance de l'endothélium vasculaire) ?

    • a.

      les yeux présentant un décollement de l'épithélium pigmentaire (DEP) fibrovasculaire > 600 μm de haut

    • b.

      les yeux présentant une néovascularisation choroïdienne (NVC) classique importante

    • c.

      les yeux présentant un DEP séreux > 600 μm de haut

    • d.

      les yeux présentant une néovascularisation de type 2

  • 9.

    Chez un patient présentant une rétinopathie diabétique proliférante et un décollement de rétine par traction en moyenne périphérie diabétique, de quelle complication faut-il se préoccuper en priorité lors de l'application initiale d'une photocoagulation panrétinienne ?

    • a.

      un décollement de rétine rhegmatogène

    • b.

      une cataracte corticale

    • c.

      une néovascularisation rétinienne

    • d.

      un décollement maculaire par traction

  • 10.

    Chez les patients présentant un œdème maculaire diabétique, quelle est la meilleure stratégie à adopter avant d'envisager une chirurgie de la cataracte ?

    • a.

      conseiller au patient d'éviter la chirurgie car la progression de la maladie est inévitable

    • b.

      envisager de prétraiter le patient avec un agent anti-VEGF

    • c.

      administrer d'abord une photocoagulation panrétinienne

    • d.

      prévoir d'avoir recours à un petit capsulorhexis pour éviter le développement d'une rubéose

  • 11.

    Qu'est-ce qui constitue une séquelle clinique caractéristique de la choroïdopathie hypertensive ?

    • a.

      des hémorragies sous la membrane limitante interne

    • b.

      des stries linéaires d'hyperpigmentation

    • c.

      une néovascularisation rétinienne

    • d.

      un œdème maculaire cystoïde

  • 12.

    Un patient qui présente une hémorragie sous-arachnoïdienne aiguë souffre d'une perte de vision et d'une hémorragie vitréenne. Quel est le processus physiopathologique impliqué dans ce cas ?

    • a.

      une agrégation granulocytaire

    • b.

      la formation d'emboles leucocytaires

    • c.

      une élévation aiguë de la pression veineuse intraoculaire

    • d.

      la formation d'emboles lipidiques

  • 13.

    Quelle affection peut-elle être associée à des hémangioblastomes capillaires rétiniens ?

    • a.

      un hémangiome choroïdien

    • b.

      un phéochromocytome

    • c.

      un macroanévrisme rétinien

    • d.

      un astrocytome

  • 14.

    Un patient subit un écrasement thoracique et présente une perte soudaine de la vision aux deux yeux. Chaque œil présente d'importants nodules cotonneux, des hémorragies et un œdème rétinien. Quel facteur pourrait expliquer le rapport entre le traumatisme thoracique et les anomalies rétiniennes ?

    • a.

      une élévation aiguë de la pression veineuse intraoculaire

    • b.

      une élévation aiguë de la pression artérielle systolique

    • c.

      une compression de la veine centrale de la rétine

    • d.

      une activation du complément

  • 15.

    Qu'est-ce qui constitue une recommandation acceptée pour le dépistage ophtalmoscopique de la rétinopathie du prématuré (RDP) ?

    • a.

      Le dépistage doit être effectué chez tous les nouveau-nés prématurés de ≥ 32 semaines d'âge gestationnel .

    • b.

      Le dépistage doit être répété toutes les 4 semaines chez les nouveau-nés qui présentent une RDP lors de l'examen initial.

    • c.

      Le dépistage doit être effectué chez tous les nouveau-nés prématurés présentant un poids à la naissance de 1,5 kg ou moins ou un âge gestationnel de 30 semaines ou moins avant la sortie de l'hôpital ou âgés entre 4 et 6 semaines.

    • d.

      Le dépistage doit être effectué chez tous les nouveau-nés prématurés présentant un poids à la naissance de moins de 3 kg.

  • 16.

    Chez les nouveau-nés à haut risque, quel élément constitue un facteur de risque de RDP ?

    • a.

      la fièvre

    • b.

      l'âge du père

    • c.

      des antécédents de transfusion sanguine

    • d.

      l'exposition à la lumière

  • 17.

    Chez un patient chez qui on a diagnostiqué une choriorétinopathie séreuse centrale, quelle anomalie pourrait amener à reconsidérer le diagnostic ?

    • a.

      un décollement de l'épithélium pigmentaire rétinien

    • b.

      un décollement rétinien séreux

    • c.

      de grands drusen

    • d.

      des amas pigmentaires

  • 18.

    Quel est l'élément diagnostique le plus constant pour les hémangiomes choroïdiens circonscrits ?

    • a.

      une association avec des décollements séreux

    • b.

      la réflectivité échographique

    • c.

      la couleur de la lésion

    • d.

      une hypofluorescence en phase tardive à l'angiographie au vert d'indocyanine

  • 19.

    Qu'est-ce qui constitue un facteur de risque important de toxoplasmose oculaire ?

    • a.

      la consommation de viande insuffisamment cuite

    • b.

      une exposition aux tiques

    • c.

      une exposition aux moustiques

    • d.

      le fait de vivre dans la vallée de l'Ohio

  • 20.

    Qu'est-ce qui constitue une caractéristique clinique du syndrome des taches blanches évanescentes ?

    • a.

      la formation de tissu cicatriciel au niveau de l'épithélium pigmentaire rétinien

    • b.

      des taches gris blanc mal délimitées dans les couches externes de la rétine

    • c.

      une réaction inflammatoire sévère au niveau du vitré

    • d.

      une pigmentation granulaire grise de la fovéa

  • 21.

    Dans la maladie de Vogt-Koyanagi-Harada, quelle anomalie suggère une chronicité ?

    • a.

      un décollement rétinien séreux

    • b.

      une hyperhémie/un œdème au niveau de la papille optique

    • c.

      un épaississement choroïdien à la tomographie en cohérence optique dans le domaine spectral ( spectral-domain optical coherence tomography [SD-OCT])

    • d.

      une dépigmentation choroïdienne, ou fond d'œil avec un aspect en « coucher de soleil »

  • 22.

    Cinq ans après une chirurgie de la cataracte sans complication, un homme blanc de 78 ans a développé une panuvéite de sévérité modérée à l'œil opéré. Quel élément de ce tableau clinique est le plus incompatible avec le diagnostic d'ophtalmie sympathique ?

    • a.

      l'âge avancé du patient et un système immunitaire relativement affaibli

    • b.

      l'origine ethnique du patient

    • c.

      l'unilatéralité de l'atteinte

    • d.

      le délai écoulé entre l'intervention chirurgicale et l'apparition de l'uvéite

  • 23.

    Un homme noir de 40 ans présente une rétinochoroïdite focale active avec une cicatrice rétinochoroïdienne adjacente. Le patient ne se souvient d'aucun épisode antérieur d'uvéite. Quel est le diagnostic le plus probable ?

    • a.

      une toxoplasmose récemment acquise (premier épisode)

    • b.

      une réactivation de toxoplasmose acquise

    • c.

      une réactivation de toxoplasmose oculaire congénitale

    • d.

      une rétinite à cytomégalovirus

  • 24.

    Parmi les affirmations suivantes concernant la cécité nocturne congénitale stationnaire (CNCS), laquelle est vraie ?

    • a.

      La forme « complète » de la CNCS est la conséquence d'un dysfonctionnement des bâtonnets.

    • b.

      Chez les patients atteints de la forme « incomplète » de la CNCS, les réponses des cônes sont normales à l'électrorétinogramme (ERG).

    • c.

      La cécité nocturne stationnaire liée à l'X complète affecte la voie cellulaire bipolaire ON dans tous les types de photorécepteurs rétiniens.

    • d.

      La cécité nocturne stationnaire liée à l'X complète est causée par des mutations de CACNA1F.

  • 25.

    Chez les patients présentant une héméralopie et des taches blanches, une mutation de quel gène et dans quel type de cellules entraîne-t-elle un dysfonctionnement non évolutif ?

    • a.

      une mutation du gène RDH5 dans les photorécepteurs rétiniens

    • b.

      une mutation du gène RDH5 dans l'épithélium pigmentaire rétinien

    • c.

      une mutation du gène RLBP1 dans les photorécepteurs rétiniens

    • d.

      une mutation du gène ABCA4 dans l'épithélium pigmentaire rétinien

  • 26.

    Qu'est-ce qui constitue une anomalie clinique dans le monochromatisme à bâtonnets ?

    • a.

      le mode de transmission autosomique dominant

    • b.

      le strabisme

    • c.

      une meilleure acuité visuelle dans le monochromatisme à bâtonnets que dans le monochromatisme à cônes S

    • d.

      un fonctionnement normal des bâtonnets à l'électrorétinogramme dans l'achromatopsie complète

  • 27.

    Quel trouble est le plus souvent associé à une forme d'onde négative à l'ERG ?

    • a.

      une amaurose congénitale de Leber

    • b.

      une rétinite pigmentaire (RP)

    • c.

      un rétinoschisis lié à l'X

    • d.

      une achromatopsie

  • 28.

    Parmi les troubles oculaires héréditaires qui suivent, lequel est le plus souvent compliqué par un œdème maculaire cystoïde ?

    • a.

      la maladie de Stargardt

    • b.

      la maladie de Best

    • c.

      la dystrophie en pattern

    • d.

      la rétinite pigmentaire

  • 29.

    Quel syndrome associé à la RP est-il considéré comme une ciliopathie rétinienne impliquant des mutations qui affectent les cils de multiples systèmes d'organes, y compris les cils présents dans les segments externes des photorécepteurs et l'oreille interne ?

    • a.

      le syndrome de Bardet-Biedl

    • b.

      la maladie de Refsum

    • c.

      le syndrome de Zellweger

    • d.

      la maladie de Batten

  • 30.

    Quelle dégénérescence rétinienne paranéoplasique est-elle associée à la présence d'anticorps anti-recovérine ?

    • a.

      la rétinopathie associée au mélanome

    • b.

      la prolifération mélanocytaire uvéale diffuse bilatérale

    • c.

      la rétinopathie associée au cancer

    • d.

      la maculopathie vitelliforme paranéoplasique exsudative aiguë

  • 31.

    Quel trouble métabolique provoque une tache rouge cerise ?

    • a.

      le syndrome de Hurler

    • b.

      la maladie de Tay-Sachs

    • c.

      la maladie de Gaucher

    • d.

      le syndrome de Hunter

  • 32.

    L'usage systémique de quel médicament peut-il être compliqué par une rétinopathie pigmentaire ?

    • a.

      le docétaxel

    • b.

      le paclitaxel

    • c.

      la niacine

    • d.

      la thioridazine

  • 33.

    Qu'est-ce qui peut provoquer une interruption de la couche ellipsoïde du segment interne apparente à la SD-OCT ?

    • a.

      l'inhalation de nitrites d'alkyle (« poppers »)

    • b.

      l'ingestion de noix de kola

    • c.

      l'ingestion de canthaxanthine

    • d.

      l'injection de talc

  • 34.

    Qu'est-ce qui caractérise les décollements de rétine suivant une contusion oculaire chez les patients jeunes ?

    • a.

      Les décollements de rétine sont presque toujours identifiés peu de temps après le traumatisme.

    • b.

      Les décollements de rétine progressent généralement rapidement.

    • c.

      Les décollements de rétine apparaissent de manière retardée.

    • d.

      Les décollements de rétine sont généralement bulleux.

  • 35.

    Quelle lésion rétinienne périphérique est la moins susceptible d'être associée à une déchirure ou un décollement de rétine ?

    • a.

      une dégénérescence palissadique

    • b.

      des plis méridionaux

    • c.

      une dégénérescence pavimenteuse

    • d.

      des touffes tractionnelles zonulaires

  • 36.

    Qu'est-ce qui constitue un facteur de risque de décollement de rétine après une chirurgie de la cataracte ?

    • a.

      l'hypermétropie

    • b.

      le jeune âge

    • c.

      le sexe féminin

    • d.

      l'hypertension artérielle systémique

  • 37.

    Qu'est-ce qui constitue une anomalie oculaire caractéristique de la persistance de la vascularisation fœtale ?

    • a.

      une microphtalmie

    • b.

      une calcification intraoculaire

    • c.

      une télangiectasie rétinienne

    • d.

      un granulome périphérique

  • 38.

    En plus du vitré optiquement vide, qu'est-ce qui caractérise la maladie de Wagner ?

    • a.

      une hypertension artérielle systémique

    • b.

      une subluxation du cristallin

    • c.

      une insuffisance aortique

    • d.

      une myopie

  • 39.

    Qu'est-ce qui est caractéristique d'une vitréorétinopathie exsudative familiale ?

    • a.

      une naissance prématurée

    • b.

      une ésotropie

    • c.

      un défaut de vascularisation de la rétine temporale

    • d.

      des antécédents d'oxygénothérapie

  • 40.

    Quel examen d'imagerie est-il contre-indiqué lors de l'évaluation initiale d'un traumatisme oculaire ?

    • a.

      la radiographie

    • b.

      l'examen tomodensitométrique de l'œil et de l'orbite

    • c.

      l'imagerie par résonance magnétique

    • d.

      l'échographie oculaire

  • 41.

    Qu'est-ce qui caractérise une rupture choroïdienne ?

    • a.

      Elle entraîne rarement une hémorragie sous-rétinienne.

    • b.

      Elle irradie généralement depuis la papille optique.

    • c.

      Elle est généralement concentrique à la papille optique.

    • d.

      Elle est uniquement antérieure à l'équateur.

  • 42.

    Dans un corps étranger intraoculaire, quel métal est le plus toxique ?

    • a.

      l'aluminium

    • b.

      le zinc

    • c.

      le fer

    • d.

      le cuivre

  • 43.

    Quelle couleur de longueur d'onde est-elle facilement absorbée par la xanthophylle maculaire ?

    • a.

      le bleu

    • b.

      le rouge

    • c.

      le vert

    • d.

      le jaune

  • 44.

    Dans quelle indication la photothérapie dynamique est-elle autorisée par la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis ?

    • a.

      la NVC sous-fovéale secondaire à une myopie pathologique

    • b.

      la NVC sous-fovéale secondaire à une uvéite postérieure

    • c.

      la rétinopathie séreuse centrale

    • d.

      l'hémangiome choroïdien

  • 45.

    Quel est l'avantage potentiel d'un traitement au laser infraliminaire (à peine visible voire invisible) par rapport au traitement au laser conventionnel ?

    • a.

      L'effet est durable et un retraitement n'est pas nécessaire.

    • b.

      Il permet de réduire le nombre et la taille des scotomes.

    • c.

      Le dosage et la détermination de l'étendue du traitement sont plus faciles.

    • d.

      Il ne nécessite pas de dilatation pupillaire importante.

  • 46.

    Quelle anomalie est une indication classique de la rétinopexie pneumatique ?

    • a.

      une déhiscence rétinienne à n'importe quel endroit

    • b.

      une déhiscence rétinienne unique

    • c.

      de multiples déhiscences rétiniennes sur 3 à 6 heures

    • d.

      l'absence de vitréorétinopathie proliférante de grade A ou B

  • 47.

    Quelle complication peut-elle survenir après une anesthésie rétrobulbaire ?

    • a.

      un glaucome aigu par fermeture de l'angle

    • b.

      une dépression respiratoire

    • c.

      une hyperthermie maligne

    • d.

      une occlusion de branche veineuse rétinienne isolée

  • 48.

    Quelle caractéristique oculaire affecte le taux de succès de la résolution du syndrome de traction vitréomaculaire et de l'obturation des trous maculaires avec l'ocriplasmine ?

    • a.

      l'étendue de l'adhérence vitréomaculaire

    • b.

      la longueur axiale

    • c.

      la durée des symptômes

    • d.

      l'état du cristallin (implant phaque versus lentille intraoculaire)