Effect of pantoprazole versus other proton pump inhibitors on 24-hour intragastric pH and basal acid output in Zollinger-Ellison syndrome - 29/02/08
Aim |
In this open prospective study, the efficacy of pantoprazole in reducing gastric acid secretion in Zollinger-Ellison syndrome patients was compared to that obtained previously with other proton pump inhibitors.
Methods |
Eleven male patients previously treated with omeprazole (n = 7, mean dosage: 63 mg/day; range: 20-100 mg/day) or lansoprazole (n = 4, mean dosage: 75 mg/day; range: 30-120 mg/day) were included. These patients underwent a 24-hour intragastric pH-metry, measurement of basal acid output and of serum gastrin first while receiving their usual therapy and second after 7 to 10 days of pantoprazole treatment at a mean dosage of 116 mg/day (range: 40-200 mg/day). Basal acid output was evaluated after each intragastric pH-metry, one hour before the next intake of proton pump inhibitor and a serum gastrin curve was determined according to 9 fixed time points.
Results |
One patient dropped out before the second intragastric pH-metry due to an adverse event (varicella) unrelated to pantoprazole and was reinvestigated thereafter. The median 24-h intragastric pH with pantoprazole was not significantly different than that with the other proton pump inhibitors (5.3 versus 4.6, respectively; P = 0.90). Neither the median basal acid output values nor the median serum gastrin levels were significantly different between pantoprazole and the other proton pump inhibitors.
Conclusion |
In these patients with the Zollinger-Ellison syndrome, pantoprazole was well tolerated and equally effective to the other proton pump inhibitors in terms of antisecretory potency.
Effet du pantoprazole comparé aux autres inhibiteurs de la pompe à protons sur le pH intragastrique des 24 heures et le débit acide basal dans le syndrome de Zollinger-Ellison |
Objectifs |
Le but de cette étude prospective ouverte était de comparer l'efficacité antisécrétoire du pantoprazole chez des malades atteints du syndrome de Zollinger-Ellison par rapport à celle observée avec leur traitement habituel par d'autres inhibiteurs de la pompe à protons.
Méthodes |
Onze malades de sexe masculin précédemment traités par oméprazole (n = 7, dose moyenne: 63 mg/jour; extrêmes: 20-100 mg/jour) ou par lansoprazole (n = 4, dose moyenne: 75 mg/jour; extrêmes: 30-120 mg/jour) ont été inclus dans l'essai. Une pH-métrie intragastrique des 24 heures, une mesure du débit acide basal et des dosages de gastrinémie ont été faits pendant le traitement habituel, puis après 7 à 10 jours de traitement par pantoprazole à la dose moyenne de 116 mg/jour (extrêmes: 40-200 mg/jour). Le débit acide basal a été mesuré après chaque pH-métrie des 24 heures, une heure avant la prise de l'inhibiteur de la pompe à protons et la courbe de gastrinémie a été déterminée grâce à 9 prélèvements successifs entre 8 h et 23 h.
Résultats |
Un malade a été exclu de l'essai avant sa deuxième pH-métrie pour événement indésirable (varicelle) non lié au traitement par pantoprazole et a été inclus à nouveau. Le pH médian intragastrique des 24 heures sous pantoprazole n'était pas significativement différent de celui observé avec les autres inhibiteurs de la pompe à protons (respectivement 5,3 versus 4,6; P = 0,90). Le débit acide basal médian et la gastrinémie médiane n'étaient pas significativement différents entre les traitements par pantoprazole et par les autres inhibiteurs de la pompe à protons.
Conclusion |
Chez ces malades atteints du syndrome de Zollinger-Ellison, le pantoprazole a été bien toléré et son effet antisécrétoire a été non significativement différent de celui de l'oméprazole et du lansoprazole.
Mappa
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Vol 26 - N° 4
P. 355-359 - Aprile 2002 Ritorno al numeroBenvenuto su EM|consulte, il riferimento dei professionisti della salute.