Insuffisance rénale aiguë et chronique au décours de la transplantation d'organe, rein exclu - 24/12/14
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Parallèlement à l'amélioration de survie des patients transplantés d'organe autres que le rein (hépatiques, cardiaques, pulmonaires et cardiopulmonaires), l'incidence de patients avec dysfonction rénale augmente, estimée selon les séries entre 10 et 80 %. Le tableau clinique commun à ces patients est caractérisé par une altération progressive de la fonction rénale associée fréquemment à une hypertension artérielle, les anomalies urinaires sont par ailleurs discrètes. Du point de vue histologique les lésions sont essentiellement vasculaires mais aussi tubulo-intersitielles et glomérulaires, souvent sévères. L'évolution vers l'insuffisance rénale terminale nécessitant le recours aux techniques d'épuration extrarénales peut concerner jusqu'à 20 % des patients. Il existe certes des mécanismes spécifiques à chaque population en fonction de l'organe transplanté mais tous ces patients partagent des facteurs de risques communs d'évolution vers l'insuffisance rénale terminale qui sont l'utilisation des anticalcineurines, la préexistence d'une dysfonction rénale et la survenue d'une insuffisance rénale aiguë postopératoire. La survenue d'une insuffisance rénale aiguë postopératoire et le développement d'une insuffisance rénale chronique au décours restent les principaux facteurs de risque de mortalité à court et à long terme dans cette population.
Il testo completo di questo articolo è disponibile in PDF.Mots-clés : Insuffisance rénale aiguë, Insuffisance rénale chronique, Néphrotoxicité des anticalcineurines, Transplantation hépatique, Transplantation cardiaque, Transplantation pulmonaire
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