Étude de la relation entre le métabolisme glucidique et le score de risque diabétique (FINDRISC) - 11/10/14
Riassunto |
Objectifs de l’étude |
Étudier la relation entre la glycémie à jeun, post-charge glucidique et le statut glucidique d’une part et le score de risque diabétique finlandais (FINDRISC) d’autre part.
Patients et méthode |
Nous avons soumis 1000 patients au questionnaire FINDRISC, puis à une hyperglycémie provoquée par voie orale (HGPO). Nous avons ensuite étudié la relation entre le métabolisme glucidique et le FINDRISC.
Résultats |
Il existe une corrélation entre le FINDRISC et les glycémies à jeun et 2h après HGPO, avec un coefficient de corrélation respectivement de 0,16 (p<<0,0001) et de 0,29 (p<0,0001). Cette relation est plus nette avec la glycémie 2h/HGPO. 56,86 % des patients avec un SDR ≥ 12 ont une dysglycémie contre 32,59 % dans le groupe FINDRISC <12 (p<0,0001). Le FINDRISC moyen des dysglycémiques (diabétiques et prédiabètiques) est plus grand que le FINDRISC moyen des témoins normoglycémiques (p<0,0001). Le FINDRISC augmente selon le degré de l’anomalie glucidique. Dans le prédiabète le FINDRISC le plus élevé est celui des sujets qui présente l’association hyperglycémie modéré à jeun et intolérance au glucose. La prévalence de la dysglycémie (diabète et prédiabète) augmente avec la valeur du FINDRISC. 70,56 % des diabétiques présentent un score ≥ 12, contre 67,53 % chez les prédiabètiques et 45 % chez les normo glycémiques.
Discussion |
Le FINDRISC constitue un bon outil afin de sélectionner les patients à haut risque de diabète et qui doivent bénéficier d’une HGPO.
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Vol 75 - N° 5-6
P. 404-405 - Ottobre 2014 Ritorno al numeroBenvenuto su EM|consulte, il riferimento dei professionisti della salute.