De l’usage du scanner et des examens de médecine nucléaire en oncologie pédiatrique : analyse d’une pratique en centre hospitalier universitaire
- 23/04/14
, P. Blouin b, Y. Venel c, L. Maurin a, D. Sirinelli a
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Résumé |
Objectifs |
Cette étude a pour but d’évaluer, en termes de nombre d’examens, de distribution chronologique et topographique et de doses efficaces, l’usage du scanner et des examens de médecine nucléaire dans la prise en charge des patients d’oncologie pédiatrique.
Patients et méthodes |
Il s’agissait d’une étude rétrospective et descriptive, ayant inclus 57 enfants (13 atteints de neuroblastome néonatal, 18 de tumeur rénale et 26 de lymphome) sur une période de 5ans, avec un recul de suivi allant de 1 à 7ans. Tous les scanners et les examens de médecine nucléaire ont été comptabilisés, et les doses efficaces calculées.
Résultats |
La majorité des examens a été réalisée au cours de la première année de prise en charge. Les doses efficaces cumulées s’étendaient de 7 à 152mSv. Le groupe lymphome a reçu les doses les plus élevées, mais moins de 10 % des enfants ont dépassé les 100mSv, contre 40 % dans l’étude nord-américaine de Chawla et al.
Conclusion |
L’usage des examens de radiologie diagnostique irradiants en oncologie pédiatrique génère des doses efficaces non négligeables, ce qui doit nous faire réfléchir à l’évaluation de nos pratiques, en explorant toutes les voies d’amélioration possibles en radioprotection, en particulier dans le domaine de la justification et de la substitution.
Il testo completo di questo articolo è disponibile in PDF.Mots clés : Oncologie, Pédiatrie, Tomodensitométrie, Médecine nucléaire, Doses de radiation
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| ☆ | Ne pas utiliser, pour citation, la référence française de cet article, mais celle de l’article original paru dans Diagnostic and Interventional Imaging, en utilisant le DOI ci-dessus. |
Vol 95 - N° 4
P. 415-423 - Aprile 2014 Ritorno al numero
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