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Fréquence des signes radiographiques de séquelle d’épiphysiolyse fémorale chez des sujets candidats à une PTH pour coxarthrose - 24/10/13

Doi : 10.1016/j.rcot.2013.07.014 
J. Murgier , A. Espié, X. Bayle-Iniguez, E. Cavaignac, P. Chiron
 Service d’orthopédie-traumatologie, hôpital Pierre-Paul-Riquet, institut de l’appareil locomoteur, cinquième étage, 308, avenue de Grande-Bretagne, 31059 Toulouse, France 

Auteur correspondant.

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Résumé

Introduction

Le taux de coxarthroses secondaires à une épiphysiolyse fémorale supérieure (EFS) est débattu, sa fréquence étant sous-estimée notamment en raison des formes mineures asymptomatiques passant inaperçues durant l’enfance.

Hypothèse

La fréquence des anomalies radiographiques de séquelle d’EFS au stade d’arthroplastie chez l’adulte est supérieure à celle rapportée dans les données récentes de la littérature (6 % à 15 %).

Patients et méthode

Une étude épidémiologique prospective et monocentrique a été menée, consistant en une analyse coxométrique des radiographies de hanche des patients devant bénéficier d’une arthroplastie de hanche entre janvier 2010 et mai 2012 pour coxarthrose. Celle-ci permettait de classer l’étiologie de la coxarthrose de chaque patient en fonction des données recueillies (primaire, EFS, dysplasie, maladie protrusive, autres). L’index cervico-céphalique de profil (ICCP), qui quantifie la translation postérieure de la tête fémorale, permettait de repérer les séquelles d’épiphysiolyse.

Résultats

Cent quatre-vingt-six hanches ont été incluses avec une arthrose qui était considérée comme primitive pour 51 patients (27,4 %), secondaire à une dysplasie pour 42 (22,5 %), à une maladie protrusive pour 38 (20,5 %) ou à une autre pathologie pour 9 (4,9 %) alors que 46 hanches (24,7 %) présentaient une image radiographique compatible avec une séquelle d’EFS. Les déformations à type d’épiphysiolyse représentaient la première étiologie de coxarthrose pour le groupe des patients de moins de 60ans (30/84 soit 35,7 %). Le groupe EFS avait 56,2ans (26–80) d’âge moyen (contre 66 [54–91] pour les coxarthroses primitives [p<0,0001]) avec un sex-ratio de 7,3 hommes contre 1,1 pour les coxarthroses primitives (p<0,0001). L’ICCP était en moyenne de 13 % (9–24 %) dans le groupe EFS contre 4,3 % (0–8 %) pour les coxarthroses primitives.

Conclusion

Notre étude a permis d’individualiser une population ayant une anomalie morphologique de l’articulation coxo-fémorale à type d’épyphysiolyse (ICCP>9 %) et qui développe une coxarthrose plus précoce que le reste de la population. L’EFS est une pathologie plus fréquente que décrite dans la littérature puisqu’elle est la première étiologie de coxarthrose chez les sujets de moins de 60ans.

Niveau de preuve

III : Étude prospective diagnostique avec groupe témoin.

Il testo completo di questo articolo è disponibile in PDF.

Mots clés : Épiphysiolyse, Index cervico-céphalique de profil, Coxarthrose, Radiographie de hanche, Conflit fémoro-acétabulaire antérieur


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 Ne pas utiliser, pour citation, la référence française de cet article, mais celle de l’article original paru dans Orthopaedics & Traumatology: Surgery & Research, en utilisant le DOI ci-dessus.


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