The discovery of biomarkers, considered as surrogate markers of the underlying pathological changes, led an international work group (IWG) to propose a new conceptual framework for AD in 2007 Dubois et al., 2007Dubois B., Feldman H.H., Jacova C., Dekosky S.T., Barberger-Gateau P., Cummings J., e al. Research criteria for the diagnosis of Alzheimer's disease: revising the NINCDS-ADRDA criteria Lancet Neurol 2007 ;  6 (8) : 734-746 [inter-ref]

Cliccare qui per andare alla sezione Riferimenti. According to the IWG, AD is now defined as a dual clinico-biological entity that can be recognized in vivo, prior to the onset of the dementia syndrome, on the basis of: i) a specific core clinical phenotype comprised of an amnestic syndrome of the hippocampal type and ii) supportive evidence from biomarkers reflecting the location or the nature of Alzheimer-type changes. Therefore, AD is diagnosed with the same criteria throughout all symptomatic phases of the disease based on the biologically-based approach to diagnosis independent of clinical expression of disease severity. The definitions were further clarified in 2010 (Dubois et al., 2010Dubois B., Feldman H.H., Jacova C., Cummings J.L., Dekosky S.T., Barberger-Gateau P., e al. Revising the definition of Alzheimer's disease: a new lexicon Lancet Neurol 2010 ;  9 (11) : 1118-1127 [cross-ref]

Cliccare qui per andare alla sezione Riferimenti). Although the new criteria are proposed for research purposes, we encourage expert centres with adequate resources to begin to use the proposed algorithm in order to move the field forward and facilitate translation into clinical practice.

La découverte récente de biomarqueurs de la maladie d’Alzheimer, considérés comme un reflet soit de la nature, soit du siège de ses lésions de la maladie, a radicalement changé l’approche conceptuelle et diagnostique de la maladie. Un groupe d’experts internationaux a proposé, en conséquence, une approche nouvelle fondée sur le concept d’une entité clinico-biologique qui peut être reconnue et identifiée du vivant du patient, et ce, indépendamment du stade de la démence comme cela était proposé jusqu’alors. Cette entité clinico-biologique repose sur la mise en évidence d’un phénotype clinique centré sur le syndrome amnésique de type hippocampique et la présence des biomarqueurs topographiques et/ou physiopathologiques. Ce cadre diagnostique a l’avantage de s’appliquer à tous les stades de l’affection. Les critères qui en découlent sont des critères de recherche, mais qui commencent à être de plus en plus utilisés dans des centres experts pour des diagnostics complexes ou chez des patients jeunes. Les avancées mais aussi les limites de ces nouveaux critères sont présentées dans cette revue.