Photoprotection interne - 01/01/00
Service de dermatologie, hôpital Michallon, BP 217 X, 38043 Grenoble cedex France
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Riassunto |
La photoprotection interne s'adresse essentiellement à certaines photodermatoses : antipaludéens de synthèse, bêtacarotène, acide para-aminobenzoïque se sont avérés efficaces dans la lucite polymorphe, la lucite estivale bénigne, et pour les antipaludéens de synthèse, dans la porphyrie cutanée tardive. La photoprotection interne du sujet sain est en revanche plus décevante. Si les antioxydants ont montré une certaine activité chez l'animal, la plupart des études humaines se sont soldées par un échec. À l'heure actuelle, seules deux études ont montré une certaine activité : l'association sélénium-vitamines A, C, E entraîne une augmentation de la dose érythémale minimale chez la moitié des sujets, réduit le nombre de cellules photodyskératosiques après irradiation utraviolette, et réduit la peroxydation lipidique. Par ailleurs, l'association de 2 g de vitamine C et 1 g de vitamine E entraîne une augmentation de la dose érythémale minimale. L'intérêt des régimes alimentaires (pauvres en graisse, riches en poissons, consommation importante de thé) reste à démontrer chez l'homme.
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