Cosmétovigilance - 12/11/07
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En France, le cadre des cosmétiques concerne les cosmétiques stricto sensu, les cosmétiques illicites et les cosmétiques à visa pour la publicité (PP). Les effets indésirables les plus évidents des produits cosmétiques sont cutanés : le dermatologue est ainsi le premier concerné par la cosmétovigilance (recueil d'effets indésirables liés aux cosmétiques pour analyse et amélioration de la sécurité des produits). En France, le Groupe d'étude et de recherche en dermatoallergologie (GERDA) a créé, en 1996, un réseau de vigilance sur les effets allergiques dus aux cosmétiques, le REVIDAL GERDA. En 2004, la cosmétovigilance publique a été créée : tous les effets indésirables graves ou qui paraissent graves au praticien doivent être notifiés sans délai à l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Les firmes, quant à elles, se doivent de participer à la cosmétovigilance publique. Elles sont tenues à une obligation semblable auprès de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) et doivent communiquer à l'Afssaps la liste des produits qui contiennent des substances pour lesquelles il y a un doute sérieux.
Il testo completo di questo articolo è disponibile in PDF.Mots clés : Législation, Cosmétiques, Cosmétovigilance, Union Européenne, Étiquetage, Ingrédients, Visa PP, Allergènes
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