Intérêt et limites des traitements antiostéoporotiques - 26/07/07
Article en cours de réactualisation
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Résumé |
La prévention et le traitement de l'ostéoporose et de ses conséquences fracturaires sont un enjeu de santé publique. Durant cette dernière décennie de nombreux traitements ont été mis à la disposition du praticien : bisphosphonates, specific estrogen receptor modulator (SERM), dérivés de la parathormone, ranelate de strontium, tandis que les traitements hormonaux de la ménopause, en raison de leurs complications néoplasiques et cardiovasculaires disparaissent en pratique du champ de la prévention de l'ostéoporose. Tous ces traitements ont été passés au crible de la « médecine par les preuves » et ont dû montrer leur efficacité antifracturaire. Cette efficacité est démontrée dans des circonstances variables en fonction des molécules : ostéoporose avec fractures vertébrales et/périphériques, patients de plus ou de moins de 80 ans. Cela a permis de proposer des arbres décisionnels raisonnés venant à l'aide du praticien dans le choix des thérapeutiques. Cependant, de nombreux points restent à expliciter : durée des traitements, définitions des populations cibles, place de la densitométrie dans le suivi, rôle clinique des marqueurs du remodelage osseux. L'élaboration prochaine d'abaques permettant de définir, pour un individu donné, un risque absolu sur 10 ans en tenant compte simultanément de plusieurs facteurs de risque permettra de fixer plus précisément le seuil thérapeutique.
Il testo completo di questo articolo è disponibile in PDF.Mots clés : Ostéoporose, Fractures, Bisphosphonate, SERM, Tériparatide, Ranélate de strontium
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