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Fracture de l’éminence intercondylienne du tibia chez l’enfant : résultats à long terme - 08/09/10

Doi : 10.1016/j.rcot.2010.05.004 
A. Casalonga a, S. Bourelle a, F. Chalencon c, L. De Oliviera c, V. Gautheron b, J. Cottalorda d,
a Service de chirurgie infantile, hôpital Nord, 42055 Saint-Étienne cedex 2, France 
b Service de rééducation pédiatrique, hôpital Bellevue, 42055 Saint-Étienne cedex 2, France 
c Service de chirurgie orthopédique, clinique chirurgicale mutualiste, 3, rue Le Verrier, 42100 Saint-Étienne, France 
d Service d’orthopédie pédiatrique, hôpital Lapeyronie, 371, avenue Doyen-Gaston-Giraud, 34295 Montpellier cedex 05, France 

Auteur correspondant.

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Résumé

Objectif

Analyser, à moyen et long terme, l’évolution objective et subjective des fractures des épines tibiales chez l’enfant.

Matériel et méthode

Étude rétrospective monocentrique de 32 fractures concernant 17 garçons et 14 filles. La classification utilisée a été celle de Meyers et Mac Keever, secondairement modifiée par Zaricznyj. On dénombrait huit types I, 17 types II, cinq types III et deux types IV. Le traitement a été orthopédique pour les types I et les types II peu déplacés. Pour les autres, le traitement a été chirurgical avec réduction de la fracture et fixation par suture ou vis. Sept patients ont été perdus de vue et un n’a pas été retenu dans l’étude en raison d’un recul moyen trop court. Treize ont été revus en consultation et évalués à l’aide de l’arthromètre KT1000® et d’un dynamomètre. Les scores objectifs et subjectifs IKDC ainsi que le score ARPEGE ont été utilisés. Dix patients, qui n’ont pas voulu se déplacer, ont répondu au questionnaire subjectif de l’IKDC.

Résultats

Le score IKDC moyen des patients répondant par courrier a été de 91. Celui des patients revus a été de 80. La moyenne des cotations au score ARPEGE était de 8,3. Les scores IKDC subjectifs retrouvaient quatre genoux notés A, quatre notés B, quatre notés C et un noté D. La laxité différentielle moyenne était de 0,88mm pour les types I, 0,82mm pour les types II et 0,30mm pour les types III et IV.

Discussion

La laxité différentielle moyenne a été plus importante chez les patients traités de façon orthopédique (0,96mm contre 0,29mm pour les patients opérés). Soixante-dix pour cent des patients revus ne se plaignaient d’aucune douleur ni gêne. Seuls deux patients présentaient une laxité pathologique se traduisant par une instabilité antérieure. Douze patients sur 13 ont repris le sport, dont la moitié au même niveau qu’avant l’accident.

Conclusion

Les cas traités chirurgicalement ont eu un meilleur résultat objectif que ceux traités orthopédiquement. Néanmoins il n’existait pas de parallélisme anatomoclinique entre l’évaluation subjective et le degré de la laxité mesuré. Globalement les fractures des épines tibiales chez l’enfant sont de bon pronostic à moyen terme du moins d’un point de vue subjectif. Notre étude montre que, malgré un résultat subjectif très satisfaisant pour la plupart des patients, le résultat n’est pas toujours parfait lorsque l’on s’intéresse aux seules mesures objectives.

Niveau de preuve

Niveau IV. Travail rétrospectif.

Il testo completo di questo articolo è disponibile in PDF.

Mots clés : Fracture des épines tibiales, Enfant, Adolescent, KT1000®


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 Ne pas utiliser, pour citation, la référence française de cet article, mais celle de l’article original paru dans Orthopaedics & Traumatology: Surgery & Research, en utilisant le DOI ci-dessus.


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