Surgical management of liver metastases from gastrointestinal endocrine tumors - 21/06/10
Summary |
Liver metastases from endocrine tumors can reduce 5-year survival from 90% to 40% and, in cases of functional gastrointestinal endocrine tumors, lead to a carcinoid syndrome. Complete resection of cancerous disease should be considered in all cases. Indeed, after hepatectomy, prolonged survival (41–86% at five years) can be achieved, with low rates of surgery-related mortality (0–6.7%). Extended liver resection is required in most cases. Percutaneous portal embolization increases the volumetric feasibility of resection, and sequential hepatectomy techniques enable a two-stage resection of both bilobar metastases and the primary tumor. For carcinoid syndrome that does not respond to medical therapy, incomplete resection of liver metastases, by reducing tumor volume, may be indicated to reduce symptoms and halt the progression of carcinoid heart disease. In cases of non-resectable liver metastases in selected patients, liver transplantation can lead to 5-year survival rates as high as 77%.
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La survenue des métastases hépatiques des tumeurs endocrines digestives diminue la survie de moitié et entraîne un syndrome carcinoïde dans le cas des tumeurs endocrines intestinales. L’exérèse complète de la maladie tumorale doit systématiquement être envisagée. En effet, après hépatectomie, la survie peut être prolongée (41–86 % à cinq ans) et la mortalité opératoire est faible (0–6,7 %). Il s’agit le plus souvent de résections hépatiques étendues. L’embolisation percutanée de la veine porte permet d’augmenter la faisabilité volumétrique de la résection et les techniques d’hépatectomie séquentielle permettent de traiter en deux temps les métastases bilobaires et la tumeur primitive. En cas de syndrome carcinoïde résistant au traitement médical, une exérèse même incomplète des métastases hépatiques peut être indiquée pour réduire le volume tumoral afin de diminuer la symptomatologie et ralentir l’évolution d’une cardiopathie carcinoïde. En cas de métastases hépatiques non résécables, la transplantation hépatique permet d’obtenir, chez des patients sélectionnés, des taux de survie à cinq ans pouvant atteindre 77 %.
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Vol 34 - N° 4-5
P. 274-282 - Aprile 2010 Ritorno al numeroBenvenuto su EM|consulte, il riferimento dei professionisti della salute.