Damage control orthopédique en chirurgie de guerre : quelles différences avec les pratiques civiles ? - 24/05/10


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Traumatisé instable, association plurilésionnelle et délabrement des membres sont autant de situations qui nécessitent la mise en œuvre du damage control en orthopédie. Le chirurgien militaire est régulièrement confronté à ce type de patient en situation de crise. En termes physiopathologique, les lésions induites par un contexte de conflit (éclats ou balles) sont comparables aux blessures graves de l’accidentologie routière (motards), aux défenestrés ou encore aux accidents avec les machines agricoles. Quelle que soit la situation, des lésions équivalentes aboutissent à des stratégies identiques même si pour des raisons d’évacuation le fixateur externe à une place prépondérante en mission extérieure. La stabilisation fait suite au parage qui est, dans notre expérience, un temps opératoire incontournable bien que peu souvent associé au damage control dans la littérature. Au total, il n’y a pas de différence notable entre pratique civile et militaire et plus que la lésion, c’est le contexte qui peut modifier une stratégie thérapeutique intimement liée aux délais d’évacuation.
Il testo completo di questo articolo è disponibile in PDF.Mots clés : Damage control, Chirurgie de guerre, Service de santé des armées, Fixateur externe
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Vol 96 - N° 4S
P. S60-S65 - Giugno 2010 Ritorno al numeroBenvenuto su EM|consulte, il riferimento dei professionisti della salute.
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