La voie « subvastus » est-elle réellement mini-invasive ? Étude des trois marqueurs musculaires sur 74 prothèses du genou - 03/06/09
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Les voies mini-invasives pour la pose des prothèses du genou permettent la réduction des douleurs et la récupération rapide de la fonction. Cette chirurgie nécessite des tractions sur les valves musculaires que nous avons cherchées à évaluer par le dosage de trois marqueurs musculaires. Soixante-quatorze patients ont été opérés d’une prothèse totale d’une genou (PTG) ou d’une prothèse unicompartimentale (PUC) par voies parapatellaires traditionnelles ou mini-invasives. Il s’agit d’une série continue, non randomisée. Les dosages sériques des créatines phosphokinases (CPK), myoglobine et lacticodéshydrogénase (LDH) ont été effectués pour chaque patient de j0 à j4, puis le jour de la sortie. Quel que soit l’abord, il existait une augmentation précoce des CPK et de la myoglobine. L’augmentation des CPK était significativement plus élevée dans les voies « subvastus » de j1 à j3 que dans les voies classiques ou si l’index de masse corporelle (IMC [body mass index]) est supérieur à 30kg/m2. Les voies mini-invasives imposent un décollement et une traction sur le vaste médial à l’origine des relargages de marqueurs. Il faut s’efforcer de réduire ces microtraumatismes en peropératoire.
Il testo completo di questo articolo è disponibile in PDF.Mots clés : Prothèse totale du genou, Voie mini-invasive, Voie subvastus, Voie midvastus, Marqueurs musculaires
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Vol 95 - N° 4S
P. 55-59 - Giugno 2009 Ritorno al numeroBenvenuto su EM|consulte, il riferimento dei professionisti della salute.
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