Après un bref rappel bibliographique, les auteurs présentent leur étude longitudinale réalisée sur des sujets non traités et dont le but est de rechercher les caractères structuraux les plus prédictifs du potentiel de croissance et/ou de la rotation de croissance mandibulaires.

« La hauteur du col du condyle » et « l’épaisseur de la tête condylienne » seraient les plus prédictibles de la rotation alors que « la hauteur du ramus » et « la position de l’angle mandibulaire par rapport à l’apophyse odontoïde » seraient les plus prédictibles du potentiel de croissance mandibulaire.