Apport de l’intelligence artificielle dans la gestion du diabète - 30/09/24
Riassunto |
Objectif |
Cette étude vise à décrire la relation entre le niveau d’auto-efficacité dans la gestion du diabète de type 2 et les connaissances sur l’intelligence artificielle (IA).
Matériel et méthodes |
Il s’agit d’une étude transversale menée auprès des patients suivis au service d’endocrinologie du CHU Hédi Chaker de Sfax. L’auto-efficacité a été évaluée à l’aide du questionnaire DMSES, tandis que les connaissances sur l’apport de l’IA ont été mesurées à travers un questionnaire spécifique.
Résultats |
L’âge des patients variait entre 18 et 81 ans, avec une moyenne de 55,4 ans. La majorité (56,9 %) avait entre 51 et 70 ans. Trente-quatre patients (47,2 %) ne travaillaient pas et 13 (18,1 %) étaient retraités. La moyenne des connaissances sur l’apport de l’IA était de 1,48 (sur une échelle de 0 à 12), et 94,4 % des patients avaient une faible connaissance sur ce sujet. Une relation significative a été trouvée entre les connaissances sur l’apport de l’IA et le score d’auto-efficacité (p=0,033). Les patients ayant une connaissance moyenne ou bonne de l’IA avaient un niveau d’auto-efficacité satisfaisant.
Discussion |
Les résultats indiquent que les connaissances sur l’apport de l’IA dans la gestion du diabète sont associées à un niveau d’auto-efficacité plus élevé. Les patients bien informés sur l’IA tendent à mieux gérer leur diabète, ce qui souligne l’importance d’intégrer des technologies basées sur l’IA dans l’éducation thérapeutique. L’autonomisation des patients, facilitée par l’IA, pourrait être une solution face à l’augmentation du nombre de diabétiques par rapport au nombre de professionnels de la santé.
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Vol 85 - N° 5
P. 553 - Ottobre 2024 Ritorno al numeroBenvenuto su EM|consulte, il riferimento dei professionisti della salute.
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