Maladie thromboembolique des voyages aériens - 20/11/17
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Le risque de maladie thromboembolique veineuse lié aux voyages aériens est devenu un véritable enjeu de santé publique à cause de l'augmentation sans cesse croissante du nombre de passagers. Si cela fait presque 50 ans que l'association entre voyage et thrombose veineuse a été rapportée, les études sont parfois contradictoires sur le poids réel des voyages aériens en tant que facteur de risque de la maladie thromboembolique veineuse. La maladie thromboembolique, dont la symptomatologie facétieuse est souvent trompeuse pour le clinicien, n'a pas de caractère spécifique lorsqu'un voyage en avion en est le facteur déclenchant. Le traitement en est parfaitement codifié en dehors de sa durée qui reste à évaluer. Le choix du traitement préventif (des règles d'hygiène de vie à un traitement par anticoagulants) repose sur la balance risque/bénéfice, c'est-à-dire la probabilité d'une maladie thromboembolique versus le risque du traitement préventif, soit l'appréciation du risque de maladie thromboembolique et du bénéfice du traitement. La prévention primaire dans le risque faible est habituelle ; elle repose sur l'association de la contention, de l'hydratation et de la mobilisation. La prévention primaire des sujets à risque intermédiaire ou élevé ainsi que la prophylaxie des récidives thrombotiques pourrait reposer sur un traitement par héparine de bas poids moléculaire à dose préventive, mais cette attitude n'est pas clairement codifiée au vu des études récentes. Le délai pour pouvoir reprendre l'avion après un épisode de maladie thromboembolique veineuse n'est pas non plus défini.
Il testo completo di questo articolo è disponibile in PDF.Mots-clés : Thrombose veineuse, Maladie thromboembolique, Voyage aérien
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