Révision de prothèse d'épaule - 07/03/08
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De plus en plus de prothèses d'épaule sont posées dans le monde chez des patients de plus en plus jeunes avec des indications diverses mais surtout pour traiter des fractures de l'humérus proximal, l'omarthrose primaire et des omarthroses excentrées sur coiffe rompue. Malgré des résultats publiés satisfaisants, la fréquence moyenne de complications est de l'ordre de 10 à 16 %. À court terme ce sont surtout les problèmes d'enraidissement sur capsulite, ou d'instabilité qui vont dominer les indications de révision. Les différents types de prothèse (hémiarthroplastie, prothèse totale anatomique et prothèse inversée) posent à moyen et long terme des problèmes spécifiques comme l'usure de la glène osseuse, le descellement de l'implant glénoïdien anatomique ou le descellement de l'implant sphérique dans les modèles inversés. Ceci engendre souvent un déficit du stock osseux glénoïdien qu'il faut reconstruire en un ou deux temps afin de pouvoir poser un nouvel implant. La tige humérale procure nettement moins de soucis mais, en cas de révision, il faut fréquemment la changer avec tous les risques et difficultés que cela comporte. L'infection est une autre cause de révision généralement complexe et difficile à traiter et qui peut aboutir à la dépose définitive de l'implant. Il faut retenir que la chirurgie de révision engendre un taux de complications beaucoup plus élevé que l'arthroplastie de première intention et que dans toutes les séries publiées ou présentées récemment le nombre de révisions itératives est important.
Il testo completo di questo articolo è disponibile in PDF.Mots clés : Prothèse d'épaule, Insuffisance de coiffe, Descellement prothétique, Prothèse infectée
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