Abbonarsi

EEG des encéphalites paranéoplasiques - 21/07/16

Doi : 10.1016/j.neucli.2016.06.014 
Adrien Didelot
 Service de neurologie, centre hospitalier Saint-Joseph–Saint-Luc, 20, quai Claude-Bernard, 69007 Lyon, France 

Benvenuto su EM|consulte, il riferimento dei professionisti della salute.
L'accesso al testo integrale di questo articolo richiede un abbonamento.

pagine 2
Iconografia 0
Video 0
Altro 0

Riassunto

Le spectre syndromique des encéphalites paranéoplasiques s’est considérablement étendu au cours de la dernière décennie. Les tableaux cliniques apparaissent beaucoup plus larges que dans la description séminale de Graus et al. [1] des syndromes neurologiques paranéoplasiques considérés comme classiques. Cependant, le principal facteur pronostique de ses différentes atteintes demeure la précocité du diagnostic et la brièveté du délai de mise en œuvre d’un traitement étiologique. La recherche d’auto-anticorps spécifiques est l’examen de référence pour poser un diagnostic de certitude de syndrome neurologique paranéoplasique. Néanmoins, devant un syndrome démentiel de présentation atypique, des modifications du comportement ou un tableau psychiatrique inhabituel, les examens de première intention sont l’IRM cérébrale et l’EEG, suivis de près par la rachicentèse. De fait, l’électroencéphalogramme va contribuer à orienter rapidement ces tableaux vers une origine paranéoplasique. Tout d’abord, l’EEG, lorsqu’il est pathologique, permet d’affirmer l’existence d’un trouble du fonctionnement cortical associé au tableau clinique qui en impose initialement pour une origine psychiatrique. Par ailleurs, certaines anomalies électroencéphalographiques, bien que peu spécifiques, apparaissent plus fréquemment associées à une atteinte paranéoplasique. À ce titre, certains patterns d’activité lentes thêta ou delta ainsi que certains types d’activités épileptiques temporales ou frontales sont fréquemment retrouvés dans les syndromes neurologiques paranéoplasiques. Dans certains cas de suspicion d’encéphalite à anticorps anti-LGI1 ou anti-NMDA récepteurs, l’EEG permet la mise en évidence d’anomalies pratiquement pathognomoniques de ces pathologies, comme le sont les crises brachio-faciales à bascule pour la première et les « extreme delta-brushes » pour la seconde [2].

Il testo completo di questo articolo è disponibile in PDF.

Mots clés : Anti-LGI1, Anti-NMDA-R, EEG


Mappa


© 2016  Pubblicato da Elsevier Masson SAS.
Aggiungere alla mia biblioteca Togliere dalla mia biblioteca Stampare
Esportazione

    Citazioni Export

  • File

  • Contenuto

Vol 46 - N° 3

P. 222-223 - Giugno 2016 Ritorno al numero
Articolo precedente Articolo precedente
  • En pratique, quand dois-je penser à une épilepsie devant un trouble cognitif transitoire ?
  • Anne de Saint-Martin
| Articolo seguente Articolo seguente
  • Les biomarqueurs de la sclérose en plaques en imagerie
  • Françoise Durand-Dubief

Benvenuto su EM|consulte, il riferimento dei professionisti della salute.
L'accesso al testo integrale di questo articolo richiede un abbonamento.

Già abbonato a @@106933@@ rivista ?

Il mio account


Dichiarazione CNIL

EM-CONSULTE.COM è registrato presso la CNIL, dichiarazione n. 1286925.

Ai sensi della legge n. 78-17 del 6 gennaio 1978 sull'informatica, sui file e sulle libertà, Lei puo' esercitare i diritti di opposizione (art.26 della legge), di accesso (art.34 a 38 Legge), e di rettifica (art.36 della legge) per i dati che La riguardano. Lei puo' cosi chiedere che siano rettificati, compeltati, chiariti, aggiornati o cancellati i suoi dati personali inesati, incompleti, equivoci, obsoleti o la cui raccolta o di uso o di conservazione sono vietati.
Le informazioni relative ai visitatori del nostro sito, compresa la loro identità, sono confidenziali.
Il responsabile del sito si impegna sull'onore a rispettare le condizioni legali di confidenzialità applicabili in Francia e a non divulgare tali informazioni a terzi.


Tutto il contenuto di questo sito: Copyright © 2024 Elsevier, i suoi licenziatari e contributori. Tutti i diritti sono riservati. Inclusi diritti per estrazione di testo e di dati, addestramento dell’intelligenza artificiale, e tecnologie simili. Per tutto il contenuto ‘open access’ sono applicati i termini della licenza Creative Commons.