Imagerie dans l'étude des métastases ganglionnaires des tumeurs génito-urinaires pelviennes de l'adulte - 23/11/12
Article à jour au 22/10/2018
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Resumen |
La détection des adénopathies métastatiques est un point fondamental dans le bilan de la maladie cancéreuse, car leur présence transforme une maladie locale, potentiellement accessible à un traitement curateur, en une maladie générale de sombre pronostic. Les techniques d'imagerie sont multiples, mais l'examen tomodensitométrique est le plus utilisé. Le diagnostic d'adénopathie métastatique, basé principalement sur le critère de taille, est parfois facile en cas de masses volumineuses. Les performances des techniques d'imagerie en coupes sont modestes lorsque la taille des ganglions est dans les limites supérieures de la normale et les micrométastases ne sont pas accessibles. L'imagerie par résonance magnétique (IRM) a les mêmes critères diagnostiques, mais elle permet le diagnostic de fibrose stable séquellaire. La tomographie par émission de positons couplée au scanner (PET-scan) associe l'imagerie morphologique à l'imagerie fonctionnelle et améliore la sensibilité en fonction du type tumoral étudié. C'est de plus pour certains types tumoraux l'examen de suivi pour évaluer la réponse thérapeutique. Des développements technologiques en IRM et PET-scan sont actuellement disponibles et en cours d'évaluation clinique.
El texto completo de este artículo está disponible en PDF.Mots-clés : Tomodensitométrie, Imagerie par résonance magnétique, Tomographie par émission de positons, Métastase ganglionnaire, Tumeur maligne, Appareil génito-urinaire
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