Diabète et Ramadan - 30/10/12
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Ramadan, one of the five pillars of Islam, is a holy month for Muslims. During this month, they have a duty to fast every day from sunrise to sunset.
This religion spares diabetics and persons with chronic illnesses from this duty, because lack of eating and drinking all the day has many bad consequences on their health.
But, because of a very strong habit, by solidarity with the family, or by fear of exclusion from the society, many diabetics insist on fasting as demonstrated by numerous studies.
The problem is, when they fast, diabetics are at risk from complications such as severe hypoglycemia, hyperglycemia, ketoacidosis, deshydratation and thrombosis. To avoid this, consensus and recommendations have emerged in order to develop new approaches that would minimize the various complications.
It appears from different recommendations that only diabetics whose equilibrium is stable, free of degenerative complications, and able to manage properly their diseases will be allowed to fast.
The physician’s role is to assist the faithful person to Ramadan by raising awareness of lifestyle and dietary rules, daily self-monitoring, and a new adjustment of treatment.
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Le Ramadan est un mois sacré pour les musulmans, durant lequel ils ont le devoir de jeûner tous les jours du lever au coucher du soleil ; c’est l’un des cinq piliers de l’islam.
Cette religion dispense de cette obligation les diabétiques, car le jeûne n’est pas sans conséquence sur leur santé. Par habitude, par solidarité avec la famille, ou par crainte d’exclusion vis-à-vis de la société, nombreux sont les diabétiques qui veulent à tout prix jeûner comme cela a été démontré dans nombreuses études.
Mais en jeûnant, les diabétiques s’exposent à des complications telles que : les hypoglycémies sévères, les hyperglycémies, l’acidocétose, la déshydration et les thromboses.
Pour éviter cette situation, des consensus et des recommandations ont vu le jour pour essayer de définir de nouvelles approches qui minimiseraient les différentes complications.
Il ressort des différentes recommandations que seuls les diabétiques dont l’équilibre est stable, indemnes de complications dégénératives et capables de gérer convenablement leur maladie sont autoriser à jeûner.
Le rôle du médecin est d’accompagner les fidèles durant le Ramadan en les sensibilisant davantage aux règles hygiénodiététiques, à l’autosurveillance pluriquotidienne et à une nouvelle adaptation thérapeutique.
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Vol 41 - N° 11
P. 1084-1088 - novembre 2012 Regresar al númeroBienvenido a EM-consulte, la referencia de los profesionales de la salud.
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