cAMP pathway and pituitary tumorigenesis - 11/05/12
Abstract |
The pituitary is the target of different neurohormones that have a crucial role in the control of cell differentiation, cell proliferation and hormone secretion by recognizing specific receptors belonging to the G Protein-Coupled Receptor super-family (GPCR). Evidence from in vitro studies and naturally occurring human diseases indicate that several endocrine cells, and particularly somatotrophs, recognize cAMP as a growth factor. Accordingly, mutations of the alpha subunit of the stimulatory G protein gene (GNAS) leading to the constitutive activation of adenylyl cyclase (i.e. gsp oncogene) have been recognized in a significant proportion of GH-secreting pituitary adenomas. The role of cAMP in the control of cell proliferation in selected cell types and in particular in somatotroph cells has been further confirmed by identification of genetics defect affecting the regulatory subunit IA of PKA. The role of cAMP in the control of cell proliferation as well as the crosstalk with different intracellular signalling pathways will be discussed.
El texto completo de este artículo está disponible en PDF.Résumé |
L’hypophyse est la cible de différentes neurohormones qui, après avoir été reconnue par des récepteurs spécifiques appartenant à la super-famille des récepteurs couplés aux protéines G, jouent un rôle crucial dans le contrôle de la différenciation cellulaire, de la prolifération cellulaire et de la sécrétion hormonale. Les études in vitro et l’analyse des maladies humaines indiquent que différentes cellules endocrines, et particulièrement les cellules somatotropes, considèrent l’AMPc comme un facteur de croissance. Ainsi, des mutations de la sous-unité alpha de la protéine G (GNAS) conduisant à une activation constitutive de l’adénylcyclase (oncogène gsp) ont été trouvées dans une proportion significative d’adénomes hypophysaires somatotropes. Le rôle de l’AMPc dans le contrôle de la prolifération cellulaire, dans certains types cellulaires sélectionnés, en particulier les cellules somatotropes, a été ultérieurement confirmé par l’identification de défauts génétiques touchant la sous-unité régulatrice 1A de la PKA. Le rôle de l’AMPc dans le contrôle de la prolifération cellulaire, ainsi que le dialogue croisé avec les différentes cascades de signalisation intracellulaire sera discuté.
El texto completo de este artículo está disponible en PDF.Esquema
Vol 73 - N° 2
P. 73-75 - avril 2012 Regresar al númeroBienvenido a EM-consulte, la referencia de los profesionales de la salud.