COVID-19 as a viral disease has brought up the need to exercise more than before due to its physiological effects on health. Therefore, this study investigates the effect of 12-week of aerobic exercise on female students’ hormone levels and lipid profile with polycystic ovary syndrome (PCOS) during the COVID-19 pandemic.

Using a 12-week quasi-experimental with pretest, posttest research design among 40 Iranian female students aged 18–14 with PCOS, we randomly allocated the participants to either an experimental (they performed aerobic exercises three 60-minute sessions per week at home using content production) or a control condition. Their anthropometric and blood samples (e.g., testosterone, estrogen, prolactin, and lipid profile) were taken in two stages before and after the training protocol.

The results of analysis indicated that 12-week of aerobic exercise reduced testosterone (P=0.041), prolactin (P=0.001), estrogen (P=0.001), body mass (P=0.002), body mass index (P=0.002), cholesterol (P=0.005), triglyceride (P=0.001) and low-density lipoprotein (P=0.001), whilst increased high-density lipoprotein (P=0.002).

Findings demonstrated that performing aerobic exercises is an effective and non-invasive method that could have a positive effect on young girls’ PCOS during COVID-19 pandemic.

La pandémie de COVID-19, en tant que maladie virale, a fait ressortir la nécessité de faire de l’exercice plus que jamais en raison de ses effets physiologiques sur la santé. Par conséquent, cette étude examine l’effet de 12 semaines d’exercice aérobique sur les niveaux hormonaux et le profil lipidique d’étudiantes atteintes du syndrome d’ovaires polykystiques (SOPK) pendant la pandémie de COVID-19.

En utilisant un modèle de recherche quasi-expérimental de 12 semaines avec pré-test, post-test auprès de 40 étudiantes iraniennes âgées de 18 à 14 ans atteintes du SOPK, nous avons réparti au hasard les participantes entre une série expérimentale (elles ont effectué des exercices aérobiques à raison de trois séances de 60 minutes par semaine à la maison) et une série contrôle. Les échantillons anthropométriques et sanguins (testostérone, œstrogène, prolactine et profil lipidique) ont été prélevés en deux étapes, avant et après le protocole d’entraînement.

Les résultats de l’analyse indiquent que 12 semaines d’exercice aérobique ont réduit la testostérone (p=0,041), la prolactine (p=0,001), l’œstrogène (p=0,001), la masse corporelle (p=0,002), l’indice de masse corporelle (p=0,002), le cholestérol (p=0,005), les triglycérides (p=0,001) et les lipoprotéines de basse densité (p=0,001), tout en augmentant les lipoprotéines de haute densité (p=0,002).

Les résultats ont démontré que la pratique d’exercices d’aérobic est une méthode efficace et non invasive qui pourrait avoir un effet positif sur le SOPK des jeunes filles pendant la pandémie de COVID-19.