La longue route du DPC dans les méandres institutionnels infinis - 16/04/22
Resumen |
2022 semble être enfin l’année du développement professionnel continu (DPC).
Depuis 30 ans, nous ne comptons plus les textes de loi, décrets, organismes en charge de l’organisation et tous les acronymes à la clé, devant venir gérer la formation continue des médecins.
Si la nécessité de cette formation apparaît totalement logique, il est encore difficile de s’y retrouver depuis 1993, entre EPP et référentiels de l’HAS (héritière des RMO de l’ANAES), FMC, DPC, ANDPC, OGDPC, FSM, CNP… Les atermoiements de nos instances, les obligations à venir qui n’arrivent jamais, les querelles de clochers, les obligations pour les libéraux puis les hospitaliers (ou inversement ?) ont ainsi eu plus tendance à décourager les neurologues qu’à les voir s’investir totalement dans ce processus.
Aujourd’hui, parmi toutes leurs nouvelles fonctions, les Conseils nationaux professionnels (CNP) et donc en particulier la Fédération française de neurologie (CNP de neurologie) sont en charge de « proposer les orientations prioritaires du DPC et d’assurer une veille sur les initiatives de terrain et les besoins des professionnels ».
Le nouveau parcours de DPC du neurologue semble donc enfin sur les rails et les neurologues doivent dès à présent être prêts à se l’approprier. Il est construit de telle manière que chacun puisse s’y satisfaire de la meilleure manière qui soit entre, par exemple pour un neurologue libéral : participations à des congrès, formation à distance, DU, DIU, actions indemnisées des ODPC…
El texto completo de este artículo está disponible en PDF.Mots clés : Développement professionnel continu, Formation, Neurologie libérale
Esquema
Vol 178 - N° S
P. S151 - avril 2022 Regresar al númeroBienvenido a EM-consulte, la referencia de los profesionales de la salud.
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