From time immemorial, cadaveric dissection has been commonly employed as a method of practical teaching and learning for anatomical education globally. Conventionally, cadaveric dissection has been embraced and widely accepted as the best fit for comprehensive and gross teaching in anatomy education, thus placing an undue rise in cadavers’ demands. The emergence of the new coronavirus disease 2019 (COVID-19) has posed significant effects on medical education with substantial impacts on anatomy education, as seen in the shift from classroom to virtual learning. An essential area of anatomy education and training requiring immediate consideration is the position of cadaveric dissection in a post-COVID-19 era, which entails the safety of cadavers from possible SARS-CoV-2 infection before their use. This article explores the place of cadaveric dissection in post-COVID-19 anatomy education.

Depuis des temps immémoriaux, la tradition d’utiliser des cadavres pour la dissection anatomique est le mode d’enseignement pratique et d’étude de l’anatomie humaine le plus couramment utilisé dans le monde. De manière conventionnelle, la dissection cadavérique a été adoptée et largement acceptée comme la meilleure solution pour un enseignement complet et généraliste pour l’éducation anatomique, entraînant ainsi une augmentation excessive de la demande de cadavres. L’émergence de la nouvelle maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) a eu des effets significatifs sur l’éducation médicale avec des impacts majeurs sur l’éducation anatomique, comme en témoigne le passage de l’apprentissage en classe à l’apprentissage virtuel. La place de la dissection cadavérique dans une ère post-COVID-19, qui implique la sécurité des cadavres contre une éventuelle infection par le SRAS-CoV-2 avant leur utilisation, est un domaine important de l’éducation et de la formation en anatomie nécessitant une considération immédiate. Cet article explore la place de la dissection cadavérique dans l’enseignement de l’anatomie post-COVID-19.