Efficacité de l’acide folique dans la prévention cérébrovasculaire - 09/04/08
páginas | 3 |
Iconografías | 0 |
Vídeos | 0 |
Otros | 0 |
De nombreuses études rétrospectives, puis des études prospectives ont montré qu’il existait une association entre des taux élevés d’homocystéine plasmatique et l’existence, ou la survenue d’un accident vasculaire cérébral, d’un infarctus du myocarde ou d’un décès d’origine cardiovasculaire. Cette relation a été montrée comme indépendante des autres facteurs de risque cardiovasculaires, et quantitative : plus l’homocystéine est élevée, plus le risque cardiovasculaire est élevé. L’hypothèse que l’homocystéine puisse être un facteur de risque cardiovasculaire date de 1969. Il manquait encore, jusqu’à une période récente, la preuve de la réversibilité du risque cardiovasculaire attribuable à l’homocystéine, c’est-à-dire qu’une intervention ciblée sur l’hyperhomocystéinémie puisse réduire le risque cardiovasculaire. Tout l’intérêt de la théorie de l’homocystéine tient en son traitement, puisque de faibles doses de vitamines du groupe B (acide folique ou vitamine B9, vitamine B6 et vitamine B12) réduisent de façon substantielle (d’un tiers ou d’un quart) l’homocystéine plasmatique et ce, sans aucun effet adverse sérieux rapporté.
Esquema
© 2007 Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés.
Vol 1 - N° 3
P. 50-52 - septembre 2007 Regresar al númeroBienvenido a EM-consulte, la referencia de los profesionales de la salud.
El acceso al texto completo de este artículo requiere una suscripción.
Bienvenido a EM-consulte, la referencia de los profesionales de la salud.
La compra de artículos no está disponible en este momento.
¿Ya suscrito a @@106933@@ revista ?