L’hypogonadisme hypogonadotrope féminin - 17/09/17

Resumen |
Introduction |
L’hypogonadisme hypogonadotrope (HH) peut être congénital ou acquis. Le tableau diffère selon que l’hypogonadisme est isolé ou entrant dans le cadre d’une insuffisance antéhypophysaire.
Le but de ce travail est de décrire les caractéristiques clinicobiologiques et thérapeutiques des HH féminins.
Matériel et méthodes |
Il s’agit d’une étude rétrospective concernant 27 patientes hospitalisées entre 2009 et 2016 au service d’endocrinologie du CHU Hassan II de Fès.
Résultats |
L’âge moyen des patientes était de 30,8 ans.
L’hypogonadisme hypogonadotrope était révélé par une aménorrhée primaire chez 9 cas, une aménorrhée secondaire chez 12 cas, une maladie abortive chez 1 cas, et un adénome hypophysaire chez 5 cas.
La consanguinité était notée chez 1 cas, on avait pas noté de cas familiaux d’HH, un syndrome tumoral hypophysaire a été rapporté chez 4 cas.
On a noté le stade 5 de tanner chez 17 cas, avec une régression des caractères sexuelles secondaires chez 4 cas.
L’HH était isolé dans 4 cas.
On avait noté un adénome hypophysaire chez 15 cas, la maladie de Sheehan chez 4 cas, un syndrome de Kallman de Morsier chez 1 cas, L’arachnoïdocèle chez 1 cas, la chimioradiothérapie chez 1 cas l’hypoplasie hypophysaire chez un 1 cas, une selle turcique vide chez 1 cas et la cause était indéterminée chez 3 cas.
Quatorze patientes avaient bénéficié d’un traitement hormonal substitutif.
Discussion |
L’hypogonadisme acquis reste le plus fréquent. Des progrès encore plus ambitieux dans la compréhension moléculaire et génétique de la régulation de l’axe gonadotrope ainsi que les pathologies qui en découlent.
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Vol 78 - N° 4
P. 306-307 - septembre 2017 Regresar al númeroBienvenido a EM-consulte, la referencia de los profesionales de la salud.