Apport de l’autosurveillance glycémique dans l’équilibre glycémique chez le diabétique de type 2 - 10/09/15
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Resumen |
Objectif de l’étude |
Évaluer l’effet de l’autosurveillance glycémique chez le diabétique de type 2 sur l’équilibre glycémique.
Patients et méthode |
Trente-trois patients ont accepté de pratiquer une autosurveillance faite de 6 points glycémiques à raison de 2 fois par semaine pendant une période de 6 semaines. Une hémoglobine glyquée est pratiquée au début et à la fin de l’étude.
Résultats |
L’équilibre glycémique s’est amélioré attesté par l’HbA1c qui passe de 7,38±1,41 % à 6,99±0,96 % (p=0,01). Les paramètres anthropométriques ont été également améliorés en l’occurrence l’index de masse corporelle et le tour de taille. Les paramètres lipidiques étaient également améliorés mais la différence n’était pas significative. L’HbA1c était mieux corrélée avec la glycémie 2h après le petit déjeuner.
Discussion |
Si la place de l’autosurveillance glycémique est prouvée chez le diabétique de type 1, son importance chez le diabétique de type 2 est moins étudiée. Certaines études ont montré sa contribution à un meilleur équilibre glycémique et la réduction des complications dégénératives chez le diabétique de type 2. Chez nos patients, l’amélioration de l’équilibre glycémique peut être expliquée par une meilleure sensibilisation des patients.
Conclusion |
Chez le diabétique de type 2, l’autosurveillance glycémique doit être structurée. Elle est parfois nécessaire pour un ajustement thérapeutique et pour la sensibilisation du patient.
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Vol 76 - N° 4
P. 536-537 - septembre 2015 Regresar al númeroBienvenido a EM-consulte, la referencia de los profesionales de la salud.