Les phéocromocytomes en médecine interne - 10/09/15
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Resumen |
Objectif |
Déterminer les caractéristiques épidémiologiques, cliniques, paracliniques, thérapeutiques et évolutives des phéocromocytomes dans un service de médecine interne.
Patients et méthodes |
Il s’agit d’une étude rétrospective descriptive, portant sur 9 patients hospitalisés au service de médecine interne, entre début 1997 et mai 2015, et ayant présenté un phéocromocytome.
Résultats |
Il s’agissait de 9 malades répartis en un homme et 8 femmes. L’âge moyen était de 51ans avec des extrêmes allant de 35 à 67ans. Les circonstances de découverte étaient : une HTA (4 cas), des céphalées (6 cas), des palpitations (5 cas), des sueurs (5 cas), la triade de Ménard (5 cas). Le phéocrocytome était de découverte fortuite dans 3 cas. Les anomalies hormonales étaient : un bloc métanéphrine élevé (9 cas) et un vanyl mandélique acide élevé (2 cas). Les moyens d’imagerie utilisés étaient : une échographie abdominale (5 cas), un scanner abdominal (9 cas) et une scintigraphie à la méta-iodobenzylguanidine (MIBG) dans 5 cas. Le phéocromocytome était de taille inférieure à 4 centimètres (cm) dans 3 cas et supérieure à 4cm dans 6 cas. Il était unilatéral (8 cas) et bilatéral (1 cas). Le traitement consistait en une tumorectomie (4 cas) et une surrenalectomie (5 cas). Le phéocromocytome était malin (1 cas) et bénin (8 cas). L’évolution était favorable dans la majorité des cas.
Conclusion |
Les circonstances de découverte du phéocromocytome sont fréquentes. Les anomalies hormonales sont d’un apport très important pour le diagnostic de cette pathologie surrénalienne. Le traitement reste chirurgical.
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Vol 76 - N° 4
P. 468 - septembre 2015 Regresar al númeroBienvenido a EM-consulte, la referencia de los profesionales de la salud.