Fracture du pelvis, acétabulum et hanche : ce qu’attend le chirurgien - 27/08/16
Résumé |
Les fractures de l’anneau pelvien, secondaires à des traumatismes violents ou survenant sur os déminéralisé, associent le plus fréquemment des atteintes du segment antérieur (symphyse et branches pubiennes) et du segment postérieur (aile iliaque, sacrum, articulation sacro-iliaque). Les classifications lésionnelles reposent sur le mécanisme traumatique et la stabilité résiduelle du pelvis, déterminant le type de traitement. Les fractures de l’acétabulum, associées ou non à une rupture de l’anneau pelvien, sont classées, selon le trait de fracture, en fractures élémentaires des murs, colonnes, toit de l’acétabulum et en fractures complexes. Les fractures de l’extrémité supérieure du fémur surviennent fréquemment sur un os déminéralisé à l’occasion d’un traumatisme à faible énergie. Elles se distinguent selon la région anatomique impliquée (col, massif trochantérien et région sous-trochantérienne) et le degré de déplacement, qui déterminent le risque d’ostéonécrose céphalique, complication principale de ces fractures.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Bassin, Fémur, Fracture
Plan
☆ | Ne pas utiliser, pour citation, la référence française de cet article, mais celle de l’article original paru dans Diagnostic and Interventional Imaging, en utilisant le DOI ci-dessus. |
Vol 97 - N° 3
P. 242-255 - août 2016 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.