Chirurgie des glandes parathyroïdes - 19/08/15
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Résumé |
La chirurgie des glandes parathyroïdes a largement évolué au cours des dernières années sous l'impulsion des examens de localisation des glandes pathologiques en préopératoire. L'échographie d'abord, puis la scintigraphie au sestaMIBI (méthoxy-isobutyl-isonitrile) double phase, dont la fiabilité avoisine ou dépasse les 90 %, autorisent aujourd'hui des chirurgies minimales invasives, ciblées, là où quelques années auparavant seule une chirurgie cervicale bilatérale était réalisée. Cette évolution dans la stratégie chirurgicale des hyperparathyroïdies concerne principalement l'hyperparathyroïdie primitive, dans laquelle la pathologie ne concerne qu'une seule des quatre glandes dans plus de 85 % des cas. Cette attitude minimale invasive a donc pour objet, grâce au bilan de localisation préopératoire, de diriger le geste chirurgical vers la glande atteinte, sans explorer les trois autres sites parathyroïdiens. Les taux de guérison sont identiques à ceux de la chirurgie classique bilatérale, avec des chirurgies parfois réalisables sous anesthésie locale, des complications moindres, et un coût total diminué. Cet article détaille cette stratégie chirurgicale ainsi que les différentes techniques chirurgicales utilisées.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Parathyroïde, Chirurgie, Stratégie chirurgicale, Hyperparathyroïdie, SestaMIBI
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