Forced degradation study of paliperidone under hydrolytic, oxidative, thermal and photolytic stress conditions was conducted using HPLC. The drug was found to be labile under hydrolytic, oxidative and photolytic stress conditions; whereas, it was stable under dry heat stress conditions. Effect of anionic, cationic and non-ionic surfactants applied to the concentration exceeding critical micellar concentration on the photostability of paliperidone was also studied by exposing the samples to sunlight for 72h. Major degradation of the drug was found in presence of cationic and non-ionic surfactants. Effect of titanium dioxide on the photo-degradation of paliperidone in solution state was also studied and it was found that 53% of the drug was degraded after 72h of exposure to sunlight. A common degradation peak was observed in oxidative and TiO₂ photocatalysed samples. This peak may be due to the generation of N-oxide of paliperidone. The same degradation peak was also observed in all other photostability samples. Chromatographic separation of drug and its degradation products was achieved on an Alltima C8 (250mm×4.6mm, 5μm) analytical column, using a mobile phase consisting of acetonitrile–ammonium acetate buffer with 0.2% triethylamine (pH 3.5; 20mM) (60:40, v/v) at a flow rate of 1mL/min. Quantification was performed with UV detection at 280nm. The method was validated as per ICH guidelines.

L’étude de la dégradation forcée de la palipéridone sous conditions stressées hydrolytique, odydante, thermique et photolytique a été réalisée par CLHP. Il a été démontré une labilité de la molécule sous les conditions hydrolytique, oxydante et photolytique mais une stabilité thermique. Les effets de surfactants anionique, cationique et non ionique utilisés à des concentrations supérieures à la concentration micellaire critique sur la photostabilité de la palipéridone ont egalement été évalués par exposition d’échantillons à la lumière solaire pendant 72h. Une dégradation majeure a été retrouvée en présence des surfactants cationique et non ionique. L’effet du dioxide de titane sur la dégradation de la palipéridone en solution a également été étudié et il a été trouvé que 53 % de la molécule était dégradé après 72h d’exposition solaire. Un pic commun de dégradation a été retrouvé dans les échantillons sous condition oxydante et ceux photocatalysés par le TiO₂. Ce pic pourrait être lié à la formation de N-oxide de palipéridone. Ce même pic est retrouvé dans tous les échantillons photolysés. La séparation chromatographique de la molécule et de ses produits de dégradation a été réalisée sur colonne analytique Alltima C8 (250mm×4,6mm, 5μm) en utilisant une phase mobile constituée d’un mélange 60/40 v/v d’acétonitrile et de tampon 20mM d’acétate d’ammonium contenant 0,2 % de triéthylamine (pH 3,5), à un débit de 1mL/min. La quantification a été réalisée en UV à 280nm. La méthode a été validée suivant les recommandations ICH.