Changing profile and increasing antimicrobial resistance of uropathogenic bacteria in Madagascar - 05/05/15
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Abstract |
Objectives |
We wanted to update the distribution of community-acquired uropathogens and to estimate their susceptibility profile to newly available antibiotics in Antananarivo (Madagascar).
Materials and methods |
We conducted a 3-year preliminary study (2011–2013) on bacteria isolated from the urine of patients at the Laboratory of Training and Research in Medical Biology (Antananarivo).
Results |
Three hundred and fifty-seven pathogens were isolated: 234 (65.55%) Gram-negative bacilli and 123 (34.45%) Gram-positive cocci. The most commonly isolated bacteria were Escherichia coli (89 strains) followed by Staphylococcus aureus (48 strains). Thirty-three percent of Gram-negative bacilli were resistant to 3CG. Forty percent of Klebsiella pneumoniae strains were significantly resistant to imipenem (P=0.01).
Conclusions |
The increased resistance to newly available antibiotics and the increased rate of Gram-positive cocci strains require a drastic surveillance of antibiotic resistance to ensure appropriate empirical treatment.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Objectif |
Actualiser la répartition des bactéries uropathogènes communautaires et d’estimer leurs profils de sensibilité aux antibiotiques nouvellement disponibles à Antananarivo (Madagascar).
Matériels et méthodes |
Une étude préliminaire de trois années (2011–2013) a été réalisée sur les bactéries isolées à partir de l’urine des patients au Laboratoire de formation et de recherche en biologie médicale (Antananarivo).
Résultats |
Trois cent cinquante-sept souches dont 234 (65, 55 %) bacilles à Gram négatif et 123 (34, 45 %) cocci à Gram positif ont été isolées. Les bactéries les plus fréquemment isolées étaient Escherichia coli (89 souches), suivies par Staphylococcus aureus (48 souches). Trente-trois pour cent des bacilles à Gram négatif sont résistants aux C3G. Quarante pour cent des Klebsiella pneumoniae sont significativement résistant à l’imipénème (p=0,01).
Conclusion |
L’augmentation de l’antibiorésistance et de la proportion des souches de cocci Gram-positifs implique une surveillance permanente de la résistance aux antimicrobiens pour garantir un traitement empirique adapté.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Antibiotic resistance, UTI
Mots clés : Résistance aux antibiotiques, Infections urinaires
Plan
Vol 45 - N° 5
P. 173-176 - mai 2015 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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