Non-carbapenem therapy of urinary tract infections caused by extended-spectrum ?-lactamase-producing Enterobacteriaceae - 05/05/15
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Abstract |
Purpose |
We determined the prevalence of ESBL Enterobacteriaceae in urinary tract infections among inpatients, identified risk factors of acquisition, and evaluated the effectiveness of alternatives to carbapenems.
Methods |
The clinical, microbiological, and therapeutic data as well as the outcomes were recorded for all ESBL-E positive urine samples for three months.
Results |
Thirty-one (4%) of the 762 Enterobacteriaceae positive cultures were ESBL producers. The predisposing conditions for being infected with those strains were: immunodepression (61%), recent hospitalization (52%), recent antibiotic therapy (52%), and urinary catheterization (61%). 19% of infections were community acquired. The seven cases of acute pyelonephritis and five of prostatitis were treated with piperacillin-tazobactam (5), fluoroquinolones (4), ceftazidime (2), or carbapenems (only 1) after specialized advice. Four (33%) patients relapsed at week 10: three were immunodepressed and three presented with bacteremia.
Conclusions |
Alternatives to carbapenems (especially piperacillin-tazobactam) seem to be a good option for non-bacteremic UTI in immunocompetent patients.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Objectifs |
Déterminer la prévalence des entérobactéries productrices de BLSE (E-BLSE) responsables d’infections urinaires (IU) chez les patients hospitalisés, les facteurs de risque, et l’efficacité des alternatives aux carbapénèmes.
Méthodes |
Les ECBU recueillis prospectivement pendant 3 mois chez les patients hospitalisés et revenus positifs pour E-BLSE ont été analysés.
Résultats |
Trente et un (4 %) des 762 entérobactéries isolées d’ECBU, étaient des E-BLSE. Les facteurs prédisposant constants étaient : immunodépression (61 %), hospitalisation ou antibiothérapie récentes (52 % chacune) et sondage urinaire (61 %). L’acquisition était communautaire dans 19 % des cas. Après expertise infectiologique, les 7 pyélonéphrites aiguës et les 5 prostatites ont été traitées par pipéracilline-tazobactam (5), fluoroquinolone (4), ceftazidime (2) ou carbapénème (1). À la semaine 10, l’infection avait rechuté dans 4 cas (33 %), dont 3 sur terrain immunodéprimé et 3 avec bactériémie.
Conclusions |
Les alternatives aux carbapénèmes, notamment pipéracilline-tazobactam, semblent être acceptables pour le traitement des IU non bactériémiques à E-BLSE des patients immunocompétents.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : ESBL Enterobacteriaceae, Urinary tract infection, Piperacillin-tazobactam
Mots clés : Entérobactéries BLSE, Infection urinaire, Pipéracilline-tazobactam
Plan
Vol 45 - N° 5
P. 169-172 - mai 2015 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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