Recours à la distraction symphysaire dans le cadre d’un traitement d’orthodontie : à propos d’une série de 35 cas - 05/03/15
pages | 15 |
Iconographies | 12 |
Vidéos | 0 |
Autres | 0 |
Résumé |
Introduction |
Le traitement par distraction symphysaire d’un déficit osseux mandibulaire avec dysharmonie dentomaxillaire par insuffisance de place permet d’éviter les risques des thérapeutiques habituellement envisagées (stripping, vestibuloversion incisive, extractions dentaires).
Patients et méthode |
Cette étude rétrospective présente la technique de distraction symphysaire réalisée dans le service de chirurgie maxillofaciale du CHU de Lille entre janvier 1998 et mars 2013. L’efficacité de ce traitement, ses complications ainsi que sa stabilité ont été évaluées.
Résultats |
L’étude a inclus 35 patients. Le gain de place interforamen mentonnier moyen a été de 7mm (3–12, écart-type 1,8mm). Un bon résultat occlusal avec une classe I dentaire sans vestibuloversion incisive mandibulaire a été obtenu chez 27 des 35 patients (77 %).
Conclusion |
La distraction osseuse mandibulaire par ostéotomie symphysaire apparaît être un traitement de l’insuffisance transversale mandibulaire antérieure rapide, sûr et stable dans le temps. Sa réussite repose sur une bonne collaboration entre orthodontiste et chirurgien, et sur une sélection rigoureuse des patients.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Malocclusion/chirurgie, Mandibule/chirurgie, Ostéogenèse, Distraction/méthodes, Procédé de chirurgie orale/méthodes, Études rétrospectives
Plan
Vol 13 - N° 1
P. 81-95 - mars 2015 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’achat d’article à l’unité est indisponible à l’heure actuelle.
Déjà abonné à cette revue ?