Néphropathie et grossesse - 16/01/15
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La maladie rénale chronique (MRC) concerne 3 à 4 % des femmes en âge de procréer. Qu'il s'agisse d'une néphropathie secondaire ou primitive, l'existence d'une MRC peut impacter le pronostic fœtal et maternel de la grossesse, et la grossesse peut modifier l'évolution de la néphropathie. Cependant, lorsque l'altération de la fonction rénale est absente ou mimine, que la pression artérielle (PA) est contrôlée avant la grossesse (sans inhibiteurs de l'enzyme de conversion [IEC]) et la protéinurie peu abondante, le pronostic de la grossesse est habituellement bon. Lorsqu'il existe une MRC aux stades 3, 4 ou 5, ou que la maladie générale n'est pas contrôlée, le risque fœtal de prématurité, de petit poids de naissance ou de mort in utero augmente et s'accompagne d'un risque maternel de prééclampsie et de dégradation irréversible de la fonction rénale. De plus, même sans insuffisance rénale, l'hypertension artérielle (HTA) maternelle et le degré de protéinurie peuvent retentir sur le pronostic fœtal et maternel, et sont donc à considérer dans le conseil préconceptionnel.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Néphropathie, Maladie rénale chronique, Grossesse, Complication, Prééclampsie
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