Lymphomes cutanés épidermotropes - 01/01/99
Michel D'Incan : Praticien hospitalier
Isabelle Gouyon : Docteur en médecine
Service de dermatologie, centre hospitalier universitaire de Clermont-Ferrand, Hôtel-Dieu, BP 69, 63003 Clermont-Ferrand cedex France
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Résumé |
La récente classification élaborée par l'Organisation européenne de recherche sur le traitement des cancers (EORTC) a définitivement entériné l'individualisation, au sein des pathologies hématologiques malignes, du groupe des lymphomes cutanés, lesquels se répartissent en lymphomes B et lymphomes T. Les lymphomes épidermotropes que sont le mycosis fongoïde, ses différentes variantes cliniques « épithéliotropes » (lymphomes folliculotropes, lymphomes syringotropes et lymphomes pagétoïdes), le syndrome de Sézary et la chalazodermie granulomateuse, sont tous des lymphomes T. Leur diagnostic repose principalement, aujourd'hui encore, sur la confrontation entre la clinique et l'histologie. Les autres examens ne servent le plus souvent qu'à confirmer le diagnostic. La biologie moléculaire, qui suscitait de grands espoirs, a montré ses limites, en particulie pour le diagnostic précoce des lymphomes et pour le diagnostic différentiel entre lymphomes et pseudolymphomes.
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