Indications des substituts cutanés et des allogreffes - 29/09/14
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La couverture des pertes de substances cutanées est une problématique quotidiennement posée. Les techniques classiques de chirurgie réparatrice font appel aux greffes et aux différents lambeaux pour parvenir à la fermeture chirurgicale des plaies. Depuis les années 1970, de nouvelles voies de recherche sont apparues pour assurer la survie de patients brûlés sur de grandes étendues. Il s'agissait des cultures cellulaires de kératinocytes développées par Grienwald et Green. Depuis lors, de nouvelles voies ont été explorées concernant l'épiderme, mais aussi la portion dermique de la peau. Différents substituts, biologiques, synthétiques ou biosynthétiques, sont peu à peu apparus sur le marché et mis à la disposition des chirurgiens afin de leur permettre d'assurer le remplacement partiel ou total du revêtement cutané, et ce de façon transitoire ou définitive. Leur utilisation actuelle reste encore essentiellement aux grands brûlés mais devrait offrir de nouvelles opportunités chirurgicales pour la prise en charge de plaies profondes et étendues survenant lors de polytraumatismes, de dermohypodermites bactériennes nécrosantes ou de vastes exérèses carcinologiques.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Substituts dermiques, Matrices extracellulaires, Allogreffes, Xénogreffes, Cultures cellulaires, Membranes biosynthétiques
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