Étude préliminaire sur l’échographie par élastogrphie des tumeurs des glandes salivaires - 17/09/14
Résumé |
But de la présentation |
Permettre une plus grande fiabilité à l’examen de référence des processus expansifs des glandes salivaires qu’est l’échographie. Pouvoir essayer de différencier les tumeurs bénignes des malignes avec une meilleure approche. Diminuer les coûts des examens.
Matériel et méthodes |
L’étude a été effectuée à l’aide une échographe à élastographie type Sonolith 2000 Siemens© sur une durée de 4 années. Trois type d’élastographies ont été réalisées, Virtual touch®, Share Waves®, ©ompression® en plus du mode B et de l’écho-doppler. La comparaison a été faite ensuite par une IRM, puis une cytoponction à l’aiguille fine. Les groupes de patients ont été classés en kystes liquidiens, tumeurs bénignes et tumeurs malignes. 800 cas ont été étudiés.
Résultats |
220 cas présentaient des kystes liquidiens. l’élastographie a donné 100 % de résultats correct sur la nature liquidienne du contenu, comparaison exacte avec IRM et la cytoponction. 580 cas présentaient de syndromes expansifs, 50 % ont été diagnostiqués comme bénin par l’élastographie avec 10 % de faux positifs à la cytoponction et à l’anatomopathologie. 30 % ont été déclarés malins à l’élastographie avec 18 % d’erreur à la cytoponction. 20 % n’ont pu être étiquetés bénins ou malins à l’élastographie.
Conclusion |
L’élastographie en échographie permet une bonne approche concernant les kystes salivaires et les tumeurs bénignes mais doit être améliorée pour les tumeurs malignes. La présence d’un taux important de faux positifs de tumeurs malignes sera corrigé grâce à l’amélioration des matériels.
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Vol 131 - N° 4S
P. A62 - octobre 2014 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.