Hypothyroïdie : clinique et/ou TSH - 17/09/14
Résumé |
But de la présentation |
Démontrer la prédominance de la clinique par rapport aux résultats biologiques (TSH – T4–T3) en ce qui concerne le diagnostique et la prise en charge de l’hypothyroïdie.
Matériel et méthodes |
Revues littératures et étude d’une cohorte de 43 000 patients ayant bénéficié d’un dosage de la TSH.
Résultats |
La proportion d’hypothyroïdie dans la population est largement sous estimée, en se basant sur les normes habituellement admise TSH : 0,3–4,3 mU/L En se basant sur la clinique, le nombre d’hypothyroïdies est largement plus important que ce que la biologie (TSH – T4) veut nous faire croire. La T4 étant une hormone largement inactive, sont dosage n’a que peu d’intérêt, d’autant plus que la majorité des hypothyroïdies sont des hypothyroïdies à T3.
Conclusion |
La TSH et la T4 sont de mauvais marqueurs de l’hypothyroïdie. La clinique est prédominante, la T3 urinaire est probablement le meilleur marqueur, ainsi que la T3 libre. L’hypercholestérolémie, ainsi qu’une vitamine A basse avec un béta-carotène normal seront très suspects d’être le reflet d’une hypothyroïdie.
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Vol 131 - N° 4S
P. A104 - octobre 2014 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.