Échocardiographie transoesophagienne en anesthésie-réanimation - 01/01/00
Serge Duperret : Praticien hospitalier
Hôpital Édouard Herriot, pavillon G réanimation, place d'Arsonval, 69437 Lyon cedex 03 France
Hôpital cardiovasculaire et pneumologique Louis Pradel, 28, avenue du Doyen-Lépine, 69500 Bron France
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Résumé |
Bien que l'emploi de la voie oesophagienne en échocardiographie date de 1976, ce n'est que depuis 15 ans que l'échocardiographie transoesophagienne (ETO) s'est imposée progressivement comme une technique de diagnostic et de monitorage en anesthésie et réanimation. Rapidement et facilement disponible, l'ETO dispose actuellement de toutes les technologies des sondes de surface. Les contre-indications à l'examen sont rares et les complications exceptionnelles. Toutes les structures cardiaques sont visualisées à partir de quatre plans de coupe fondamentaux. Les indications sont multiples : évaluation de la fonction ventriculaire gauche globale (précharge, postcharge, contractilité) et segmentaire ; évaluation des pressions, volumes et contractilité ventriculaire droite ; intérêt au bloc opératoire dans de nombreuses spécialités chirurgicales ; utilisation en réanimation pour le diagnostic des insuffisances circulatoires aiguës et des hypoxémies, dans le bilan des traumatisés thoraciques et des embolies artérielles. La place grandissante de l'échocardiographie en anesthésie-réanimation pose le problème d'une formation spécifique des médecins à cette technique.
Mots-clés : échocardiographie transoesophagienne, doppler, ultrasons, hémodynamique, ventricule gauche, ventricule droit, anesthésie, réanimation, monitorage, diagnostic
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