Blocs et infiltrations de la paroi abdominale et du périnée - 15/02/14
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Résumé |
Les techniques d'anesthésie locale et locorégionale de la paroi abdominale et du périnée permettent une prise en charge multimodale de la douleur postopératoire. Combinées à des techniques chirurgicales mini-invasives, elles facilitent la convalescence et limitent la chronicisation des douleurs. La sécurité en matière d'administration des anesthésiques locaux passe par la connaissance de leurs effets secondaires, en particulier toxiques. La quantité d'anesthésique local administrée est adaptée au poids, en évitant des doses cumulées proches des doses toxiques (réinjections ou procédure anesthésique au niveau de plusieurs sites). L'utilisation d'aiguilles à biseau court est recommandée. Ces blocs, à l'exception du bloc pudendal, sont des blocs sensitifs communément appelés infiltrations, non accessibles à la neurostimulation. Classiquement, une injection unique préopératoire procure une excellente analgésie postopératoire de plusieurs heures. Il est possible au niveau abdominal de mettre en place un cathéter sous-aponévrotique pour prolonger l'analgésie pendant plusieurs jours.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Infiltrations pariétales, Bloc de la paroi abdominale, Bloc paraombilical, Bloc ilio-inguinal, Bloc iliohypogastrique, Bloc pudendal, Bloc paracervical, Bloc pénien, Bloc périnéal postérieur
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