Leucorrhées - 19/12/13
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Les leucorrhées, pertes non sanglantes issues de l'appareil génital féminin, sont un motif extrêmement fréquent de consultation. Il faut alors distinguer les leucorrhées physiologiques parfois gênantes des leucorrhées infectieuses qu'il faut traiter. Le diagnostic en consultation passe par la réalisation d'un interrogatoire, d'un examen clinique en particulier gynécologique et si besoin d'examens paracliniques essentiellement microbiologiques et parfois sanguin à la recherche d'un syndrome inflammatoire ou de maladie sexuellement transmissibles associées. Les deux étiologies les plus fréquentes sont la mycose et la vaginose bactérienne qui ne sont pas considérées comme des MST mais pour lesquelles il faut associer la mise en place de mesures médicamenteuses et non médicamenteuses. Les infections considérées comme sexuellement transmissibles à Trichomonas, gonocoque, Gardnerella, Chlamydia et mycoplasme doivent donner lieu à la prescription d'un traitement adapté et bien conduit par la patiente et son partenaire du fait du risque de complications, ainsi que le dépistage de maladies sexuellement transmissibles possiblement associées. Au total, devant ce motif de consultation fréquent, il est essentiel pour le praticien de pouvoir distinguer des leucorrhées physiologiques et pathologiques ainsi que des maladies sexuellement transmissibles ou non afin d'évaluer la nécessité d'un traitement et de proposer la thérapeutique adaptée.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Leucorrhée, Mycose, Infection génitale, Maladie sexuellement transmissible
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