Influence de la vitamine D sur le risque cardiovasculaire - 05/11/13

Doi : 10.1016/j.lpm.2013.09.002

Catherine Cormier ^1,^⁎ , Marie Courbebaisse ²
¹ Hôpital Cochin, AP–HP, service de rhumatologie, université Paris-Descartes, 75679 Paris, France
² Hôpital européen Georges-Pompidou, service de physiologie-explorations fonctionnelles, université Paris-Descartes, unité Inserm 845, croissance et signalisation cellulaire « équipe homéostasie du phosphate », 75015 Paris, France

^⁎Catherine Cormier, hôpital Cochin, AP-HP, service de rhumatologie, 27, rue du Faubourg-Saint-Jacques, 75679 Paris cedex 14, France.

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Points essentiels

Chez l’homme, la concentration sérique de 25(OH)D est inversement corrélée à l’incidence du diabète de type 2, aux niveaux d’HbA1c, à la résistance à l’insuline, à des paramètres intermédiaires associés au risque cardiovasculaire et aux évènements majeurs et aux décès de cause cardiovasculaire.

Peu d’études d’intervention ont rapporté un effet bénéfique d’un traitement par vitamine D native sur des paramètres intermédiaires du risque cardiovasculaire comme la résistance à l’insuline et l’hypertension artérielle ainsi que sur les évènements majeurs cardiovasculaires.

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Key points

Few interventional studies have reported a positive effect of native vitamin D supplementation on intermediary parameters of insulin resistance, of cardiovascular risk and on major cardiovascular events and mortality.

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