La personne de confiance, sujet importun du droit médical ? - 18/02/08
Sandra Moulay-Leroux
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Incarnation du respect du consentement du patient depuis la loi du 4 mars 2002, la personne de confiance doit être majeure et capable. Il peut s’agir d’un parent, d’un proche ou du médecin traitant. La réelle innovation de cette disposition de la loi de 2002 réside dans l’implication omniprésente de la personne de confiance lors du processus de soins.
Mots clés :
Consentement
,
Décision médicale
,
Droit médical
,
Famille
,
Personne de confiance
Plan
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Vol 16 - N° 62
P. 55-57 - mai 2007 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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