Gammapathies monoclonales : guide pratique pour l’interprétation et l’orientation diagnostique - 06/06/13
Carole Emile [1]
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La fréquence des gammapathies est très importante dans la population générale (3 % au-delà de 50 ans) et augmente avec l’âge. Les MGUS représentent plus de 60 % des gammapathies monoclonales ; en l’absence de signes cliniques ou biologiques évocateurs d’hémopathie, il convient d’être raisonnable dans les explorations. Chez un patient symptomatique, il faut en revanche pousser les investigations, même si l’électrophorèse des protéines sériques est normale.
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Vol 24 - N° 488
P. 22-24 - avril 2013 Retour au numéro
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