Auto-prélèvements : une solution pour améliorer l’accès au depistage - 06/06/13
Chantal Bertholom [1]
Voir les affiliationsLe cancer du col de l’utérus provoque prés de 1 000 décès par an en France. Il est pourtant possible, grâce au dépistage, de détecter des lésions précancéreuses et cancéreuses du col.
Le dépistage du cancer du col en France, majoritairement individuel, repose actuellement sur la réalisation de frottis du col utérin (FCU) chez les femmes entre 25 et 65 ans selon un rythme triennal cependant 44 % des femmes de cette tranche d’âge ne seraient pas dépistées.
Le test HPV en dépistage primaire associé au frottis améliore nettement la sensibilité du dépistage mais actuellement le test HPV n’est indiqué que pour faire le tri des frottis ASC-US, plus de 50 % d’entre eux étant HPV-HR +.
Pour pallier à l’insuffisance du dépistage par FCU, des campagnes de dépistage par autoprélèvements vaginaux (APV) ont été initiées.
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Vol 24 - N° 488
P. 18-19 - avril 2013 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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