Incretin dysfunction in type 2 diabetes: Clinical impact and future perspectives - 04/06/13
Abstract |
The incretin effect refers to the augmentation of insulin secretion after oral administration of glucose compared with intravenous glucose administration at matched glucose levels. The incretin effect is largely due to the release and action on beta-cells of the gut hormones glucose-dependent insulinotropic polypeptide (GIP) and glucagon-like peptide-1 (GLP-1). This system has in recent years had considerable interest due to the success of incretin therapy as a glucose-lowering strategy in type 2 diabetes. In non-diabetic subjects, the incretin effect is responsible for 50–70% of insulin release during oral glucose administration. In type 2 diabetes patients, the incretin effect is impaired and contributes to only 20–35% of the insulin response to oral glucose. The reason for the defective incretin effect in type 2 diabetes has been the subject of many studies. Although the reports in the literature are mixed, most studies of GIP and GLP-1 secretory responses to oral glucose or a mixed meal have shown fairly normal results in type 2 diabetes. In contrast, the insulinotropic effects of both GIP and GLP-1 are impaired in type 2 diabetes with greater suppression of insulin secretion augmentation with GIP than with GLP-1. The suggested causes of these defects are a defective beta-cell receptor expression or post-receptor defects secondary to the diabetes milieu, defective beta-cell function in general resulting in defective incretin effect and genetic factors initiating incretin hormone resistance. Identifying the mechanisms in greater detail would be important for understanding the strengths, weaknesses and efficacy of incretin therapy in individual patients to more specifically target this glucose-lowering therapy.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
L’effet incrétine correspond à l’augmentation de la sécrétion de l’insuline après une administration orale de glucose, comparée à une administration intraveineuse, pour des niveaux équivalents de glucose. L’effet incrétine est dû en grande partie à la libération et à l’action des cellules β des hormones glucose-dépendantes de l’intestin insulinotropiques polypeptide (GIP) et des peptide-1 glucagon-like (GLP-1). Ce système a bénéficié d’un fort intérêt ces dernières années dans le diabète de type 2. Chez des sujets normaux, l’effet incrétine est responsable de 50 à 70 % de la libération de l’insuline lors d’une administration orale de glucose. Dans un diabète de type 2, l’effet des incrétines est réduit et contribue seulement de 20 à 35 % de la réponse en insuline lors d’une prise orale de glucose. La raison de cet effet réduit des incrétines dans le diabète de type 2 a fait l’objet de nombreuses études. Bien que quelques divergences existent dans la littérature, la plupart des études sur les réponses sécrétoires des GIP et GLP-1 à une administration orale de glucose ou lors d’un repas ont montré des réponses relativement normales dans le diabète de type 2. En revanche, les effets insulinosécrétagogues du GIP et du GLP-1 sont réduits dans le diabète de type 2, avec une réduction plus marquée de l’effet du GIP sur l’augmentation de la sécrétion d’insuline par rapport au GLP-1. Les causes de la diminution de l’effet incrétine impliquent une diminution de l’expression des récepteurs au niveau des cellules β, des altérations de la transduction post-récepteur liées à l’hyperglycémie ou une résistance aux incrétines. La compréhension approfondie de ces mécanismes sera importante pour mieux cibler l’efficacité des thérapeutiques basées sur les incrétines.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Incretin, GIP, GLP-1, Type 2 diabetes, Insulin
Mots clés : Incrétine, GIP, GLP-1, Diabète de type 2, Insuline
Plan
Vol 39 - N° 3
P. 195-201 - mai 2013 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.