Repaglinide is more efficient than glimepiride on insulin secretion and post-prandial glucose excursions in patients with type 2 diabetes. A short term study - 17/02/08
MR Rizzo [1],
M Barbieri [1],
R Grella [1],
N Passariello [1],
M Barone [1],
G Paolisso [1]
Voir les affiliationsLe repaglinide est plus efficace que le glimépiride sur la sécrétion d'insuline et sur les excursions glycémiques post-prandiales chez les diabétiques de type 2. Une étude à court terme |
Objectifs |
Comparer l'effet du Repaglinide (R) vs Glimepiride (G) sur la sécrétion insulinique induite par le glucose et le repas et sur les excursions glycémiques après repas test.
Méthodes |
Après 2 semaines de washout, 14 patients diabétiques de type 2 « naifs » de traitement diététique ont été randomisés dans un essai de 3 mois en groupes parallèles avec crossover entre R (1 mg X 2/jour) et G (2 mg/jour).
Résultats |
Aussi bien R que G ont réduit de façon significative et similaire la glycémie à jeun et amélioré l'insulinémie à jeun vs les taux de départ. Le clamp hyperglycémique a montré que les phases 1 (129,15 ± 23,6 vs 106,90 ± 18,6 pmol/L ; p = 0,01) et 2 (189,42 ± 34,4 vs 144,21 ± 37,3 pmol/L ; p = 0,003) de la réponse ß-cellulaire au glucose de même que l'aire sous la courbe (52,07 ± 10,86 vs 39,54 ± 10,27 mmol/L X 120' ; p = 0,005) étaient supérieures dans le groupe R que dans le groupe G. L'action de l'insuline (4,0 ± 1,1 vs 3,2 ± 0,9 mg X Kg X 60'/µU/mL ; p = 0.046) était aussi mieux améliorée par R que par G. Lors du repas test, le traitement R a induit une sécrétion d'insuline plus rapide dans sa première partie. En fait, la montée moyenne de la sécrétion d'insuline a atteint un pic à 45 min sous R (p = 0,001 vs G) et à 60 min sous G (p = 0,001 vs R). En conséquence, le pic de glucose à 60 min était plus élevé sous G par rapport au pic de glucose à 45 min sous R (p = 0,002).
Conclusions |
Notre étude démontre que R est plus efficace que G pour améliorer la sécrétion d'insuline induite par le glucose et le repas et pour contrôler les excursions glycémiques postprandiales.
Objectives |
To compare the effect of Repaglinide (R) vs Glimepiride (G) on glucose- and meal-induced insulin secretion and on meal-test induced postprandial glucose excursions.
Methods |
After 2 weeks washout period, a 3-month randomised, cross-over parallel group trial of R (1 mg X 2/die) vs G (2 mg/die) in 14 patients with type 2 diabetes “naive” in diet treatment was made.
Results |
Both R and G significantly but similarly lowered fasting glucose levels and improved fasting plasma insulin levels vs baseline. Hyperglycemic clamp showed that both 1 st (129.15 ± 23.6 vs 106.90 ± 18.6 pmol/L; p = 0.01) and 2 nd phase (189.42 ± 34.4 vs 144.21 ± 37.3 pmol/L; p = 0.003) ß-cell response to glucose as well as area under the curve (52.07 ± 10.86 vs 39.54 ± 10.27 µmol/L x 120'; p = 0.005) were greater in R than G groups. Insulin action (4.0 ± 1.1 vs 3.2 ± 0.9 mg X Kg X 60'/µU/mL; p = 0.046) was also improved by R than G administration. In the meal test, R therapy produced a more rapid induction of insulin secretion during the first part. In fact, the mean rise in insulin secretion peaked at 45 min in R (p = 0.001 vs G) and at 60 min in G (p = 0.001 vs R). Consequently, glucose spike at 60 min was higher in G group compared to glucose spike at 45 min in R group (p = 0.002).
Conclusions |
Our study demonstrates that R is more efficient that G on improving glucose- and meal- induced insulin secretion as well as on controlling for postprandial glucose excursion.
Mots clés :
Repaglinide
,
Glimepiride
,
Clamp hyperglycémique
,
Repas test
,
Sécrétion d'insuline
,
Glycémie postprandiale
Keywords: Repaglinide , Glimepiride , Hyperglycaemic glucose clamp , Meal test , Insulin secretion , Postprandial glycemia
Plan
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Vol 30 - N° 1
P. 81-89 - février 2004 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.