Resurfaçage de hanche - 26/03/13
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Résumé |
Le resurfaçage de hanche de deuxième génération présente de nombreux avantages par rapport aux prothèses traditionnelles : conservation du stock osseux fémoral et acétabulaire, absence de luxation, intégrité du fût fémoral avec réduction du risque d'embolie et de sepsis, possibilité de retour aux sports sans restriction, reconstruction automatique de la biomécanique coxofémorale, restauration des paramètres de marche, etc. Cependant, l'ensemble de ces arguments est directement lié à une technique d'implantation chirurgicale très rigoureuse sans laquelle des risques spécifiques tel une fracture du col fémoral risque de survenir. En effet, la préservation osseuse fémorale rend l'exposition du cotyle plus difficile que pour une prothèse traditionnelle. De même, la position frontale et sagittale de limplant fémoral (offset antérieur) engendre des conséquences directes sur la fonction de la hanche. Toutes les voies d'abords sont possibles pour implanter un resurfaçage même si dans l'immense majorité des cas la voie postérolatérale est privilégiée. La fixation de la cupule est systématiquement confiée à un revêtement poreux sans ciment tandis que la fixation fémorale peut, selon certains critères, être cimentée ou non. La nature du couple de frottement du resurfaçage (métal-métal) implique un positionnement spécifique de la cupule acétabulaire afin d'éviter les déboires d'une production accrue d'ions métalliques.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Resurfaçage, Arthroplastie, Luxation, Métal-métal
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